Accumulation de richesses, morale John Locke, Adam Smith, richesse des Nations, accumulation de capitaux, abondance de monnaie, droit de nature, investir, être performant, propriétés de la richesse
Locke et Smith sont deux philosophes et économistes du 17e et 18e siècle. Ils proposent tout les deux des théories assez différentes sur l'accumulation de capitaux (abondance de monnaie) et sur la morale (droit de nature). Locke échafaude la théorie sur l'idée de propriété. Smith quant à lui propose d'accumuler du capital (mal vu par l'Église à l'époque) pour investir et pouvoir devenir beaucoup plus performant. Alors comment la morale amène-t-elle à l'accumulation de la richesse qui est encore trop élaborée pour leur époque ? Tout d'abord nous nous pencherons sur le rapport moral de chacun. Enfin nous allons nous intéresser aux propriétés de la richesse chez ces deux économistes.
[...] Ce théorème suggère que les moyens de production et de distribution doivent appartenir à des intérêts privés. On nous montre ici que les deux auteurs ne visent pas prioritairement les économies marchandes et les valeurs marchandes, mais plutôt le pouvoir politique. De plus chez Locke la monnaie permettrait à l'abandon de l'état de nature pour s'orienter dans une société civile, grâce au fait que le surplus ne sera plus gâché, mais échanger entre un individu avec le consentement de chacun. [...]
[...] Les deux auteurs ont une vision très différente de la morale. Chez Locke elle empêche le développement de l'accumulation de richesse. Smith quant à lui pense que les hommes sont tous liés par la sympathie, elle permet de créer une communication entre les autres individus et des affinités. Ceci permet alors une sympathie réciproque et alors un intérêt personnel (l'amour de soi). Les individus auront plus tendance à échanger entre eux. Les échanges sont la base de la division du travail. [...]
[...] La Richesse des Nations a marqué la naissance du capitalisme moderne, en renversant le mercantilisme a permis une vision du marché libre et a élevé encore plus l'idée du libéralisme. On a pu voir que Locke et Smith abordent différemment l'accumulation de richesse et de la morale. On a pu voir que l'on oppose le rationalisme de Locke et le sentimentalisme de Smith de la morale qui nous permettront d'accumuler de richesses par différents moyens. Rousseau quant à lui a choisi la pitié et montre que le sentiment est déterminant en matière de morale. [...]
[...] L'accumulation de richesses et morale chez John Locke et Adam Smith Locke et Smith sont deux philosophes et économistes du 17e et 18e siècle. Ils proposent tous les deux des théories assez différentes sur l'accumulation de capitaux (abondance de monnaie) et sur la morale (droit de nature). Locke échafaude la théorie sur l'idée de propriété. Smith quant à lui propose d'accumuler du capital (mal vu par l'Église à l'époque) pour investir et pouvoir devenir beaucoup plus performant. Alors comment la morale amène-t-elle à l'accumulation de la richesse qui est encore trop élaborée pour leur époque ? [...]
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