Smith, économie de marché, valeur du travail, libre-échange, division du travail, richesse, prix réel, prix naturel, prix de marché, théorie de la main invisible
Pour Smith, chacun suit son propre intérêt (l'intérêt personnel est différent de l'égoïsme). L'individu animé par son intérêt va au marché pour échanger. Penchant naturel à tous les hommes, celui-ci l'amène à échanger (c'est ce qui le différencie de l'animal).
L'intérêt conduit à l'échange et l'échange conduit à la division sociale du travail. Plus on échange, plus on divise le travail.
L'accroissement de la division du travail doit toujours être limité par l'étendue du marché. La limite de la division du travail : le marché. Plus le marché est étendu, large, plus on peut échanger, plus le travail peut être divisé, plus chacun peut se consacrer à une tâche spécifique. Plus le travail est divisé, plus il est productif.
[...] Ainsi la valeur d'une denrée quelconque pour celui qui la possède, et qui n'entend pas en user ou la consommer lui-même, mais qui a l'intention de l'échanger pour autre chose, est égale à la quantité de travail que cette denrée le met en état d'acheter ou de commander ». « Ainsi la valeur d'une denrée quelconque pour celui qui la possède, et qui n'entend pas en user ou la consommer lui-même, mais qui a intention de l'échanger pour autre chose, est égale à la quantité de travail que cette denrée le met en état d'acheter ou de commander ». Ici Smith semble parler du travail incorporé. [...]
[...] Ce taux permet de couvrir les frais normaux de la reproduction c'est-à-dire pour que chacun puisse renouveler son activité. Le salaire doit permettre la reproduction de la vie du travailleur. Le profit doit permettre la continuité capitaliste. Ce taux permet à chacun de renouveler son activité. ⇒ La valeur se produit dans le travail. Et cette valeur se manifeste dans le marché. Et le prix qu'on paye dans le marché (s'il fonctionne bien) rémunère les trois facteurs de prod > c le prix naturel (=prix réel). [...]
[...] Donc la quantité de travail que je peux commander est + grande, car elle ne rémunère pas seulement le travail mais aussi le profit et la rente. La valeur réelle, selon Smith, le prix réel, c'est le prix qui rémunère le profit et la rente. Travail commandé = travail incorporé + profit + rente Pour Smith il y a trois définitions de prix : Le prix réel : le prix qui rémunère le salaire + le profit + la rente. On la mesure en termes de travail commandé. [...]
[...] Chacun suit son intérêt, et comme guidé par une main invisible, il va produire le bien commun de tous. Comme cela, le souverain se trouve débarrassé de la tache de produire l'intérêt général : qui se produit tout seul avec les intérêts personnels. Chaque individu, en poursuivant son gain est conduit à une fin qui n'est pas celle qu'il veut de nature. Foucault se concentre sur l'opacité et l'invisibilité qui fait partie du jeu politique économique libéral. [...]
[...] La limite de la division du travail : le marché. Plus le marché est étendu, large, plus on peut échanger, plus le travail peut être divisé, plus chacun peut se consacrer à une tâche spécifique. Plus le travail est divisé, plus il est productif. « Les plus grandes améliorations dans la puissance productive du travail, et la plus grande partie de l'habileté, de l'adresse et de l'intelligence avec laquelle il est dirigé ou appliqué, sont dues, à ce qui semble, à la division du travail. [...]
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