Cours d'économie analysant les théories et lois de David Ricardo. Présentation d'une biographie et d'une bibliographie de tous les économistes cités (Ricardo, Smith...).
[...] Prix du blé T2 sera moins fertile que T1 car les terres utilisées en T1 étaient les meilleures. Le prix du blé de T2 sera donc plus élevé que Pb3 le prix du blé de T1 car sa productivité sera Pb2 T3 T4 Pb1 T2 A un moment donné, dans un pays, on a le même T1 prix de blé partout et donc l'exploitation de T4 Fixera ce nouveau prix car sinon il n'y aurait plus d'investissements agricole et la production n'augmenterait pas, on se retrouverait alors dans une situation de famine dans le pays. [...]
[...] Biographie et bibliographie de Ricardo : Financier et économiste anglais (Londres 1772 Gatcomb Park, Gloucestershire, 1823). Ricardo s'est plus intéressé à la répartition des richesses qu'à leur production. Partant des recherches de Malthus, il établit la loi de la rente foncière : les produits des terres coûtent moins cher à produire, mais ils se vendent le même prix que les autres ; les propriétaires de ces terres bénéficient ainsi d'une rente foncière égale à la différence des prix de revient. [...]
[...] Vin GB : 120/100= 1.2 TI Portugal : 80/90= 0.85 Drap En économie ouverte et donc en libre échange, on aura deux nécessités : - Une spécialisation sur la base des coûts comparatifs - La fixation d'un taux d'échange international compris entre les deux taux d'échanges internes Démonstration : Arithmétique On a une spécialisation : GB vers le drap Portugal vers le vin On a toujours une consommation de 1unités par produit et par pays (soit 4 unités au total). On a donc un gain de 30h pour les deux partenaires qui résulte du libre-échange et de la spécialisation qui en est la conséquence. [...]
[...] Biographie et bibliographie d'Adam SMITH : Economiste écossais (Kirkcaldy 1723 Edimbourg 1790). Dans son œuvre principale, Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations (1776) ; il défend un certain nombre d'idées simples : la source de toute richesse est le travail ; une heureuse organisation de l'économie se réalise spontanément dans toute société ou l'homme peut se conduire sous l'impulsion de son intérêt personnel ; les gouvernements doivent accorder une liberté totale à la production nationale et au commerce international. [...]
[...] Il y a donc un gain partagé enter les deux pays. Mais Ricardo ne fixe pas de taux international et laisse ainsi entendre que les taux doivent être négociés entre les pays. Le commerce extérieur est donc avantageux pour les deux partenaires s'il y a spécialisation des deux pays. Loi des coûts comparatifs : Dans le libre-échange, tous les partenaires gagnent. Il ajoute que Pour peu que la GB importe des denrées qui rentre dans la consommation de l'ouvrier, les profits augmenteront en GB. [...]
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