Lorsqu'on analyse la croissance économique, il faut prendre des précautions selon que l'on raisonne en niveau ou en variation, ou en terme nominal ou réel.
Lorsqu'on raisonne en niveau, les données statistiques sont exprimées en volume (ex : le nombre de chômeurs). Par contre, lorsqu'on s'exprime en variation, on raisonne en terme relatif, généralement en pourcentage.
Lorsque le mouvement de croissance est court et lorsque l'on veut mettre en évidence une accélération du rythme de la croissance on parle d'expansion.
Le contraire de la croissance, c'est la dépression. Le contraire de l'expansion, c'est la récession (...)
[...] Lorsqu'on raisonne en niveau, les données statistiques sont exprimées en volume (ex : le nombre de chômeurs) Par contre lorsqu'on s'exprime en variation, on raisonne en terme relatif, généralement en pourcentage. Lorsque le mouvement de croissance est court et lorsque l'on veut mettre en évidence une accélération du rythme de la croissance on parle d'expansion. Le contraire de la croissance, c'est la dépression. Le contraire de l'expansion, c'est la récession. Dans la pratique, on parle de récession lorsque l'économie enregistre une croissance négative sur 2 trimestres consécutifs. Lorsqu'on mesure la croissance, on corrige l'indicateur global de production en tenant compte de l'effectif de la population totale. [...]
[...] Il augmente le volume de capital disponible et permet de produire davantage. Pour déterminer dans quelle proportion Domar fait l'hypothèse que la fonction de production la plus réaliste pour représenter l'économie Est une fonction à facteurs complémentaires qui nécessitent de produire en utilisant des proportions données de travail et de capital ( est rigide, de même que le coefficient de travail, on fait abstraction du progrès technique, comme cette relation est vérifiée à chaque période, on peut en déduire que delta delta Y. [...]
[...] Par hypothèse, il désigne π=profits et ω=salaires. Donc l'épargne globale dépend de la part de chaque hypothèse de revenu épargné selon son propre taux d'épargne s=sωШ+sπTT. On peut donc en déduire le taux d'épargne : S = S/Y = sω +sπ Il en résulte qu'une modification du partage des revenus entraîne une variation du taux d'épargne s. Si la part des profits dans le revenu national qu'on appelle le taux de marge S'il augmente au détriment de la part des salaires alors le taux d'épargne globale s a nécessairement augmenté puisque le taux d'épargne sur les profits est supérieur au taux d'épargne sur les salaires. [...]
[...] Son modèle d'analyse repose sur une répartition du produit global entre 3 classes sociales : _ Les travailleurs qui perçoivent les salaires _ Les capitalistes perçoivent les profits _ Les propriétaires fonciers perçoivent la rente foncière. Le taux de salaire naturel fournit aux ouvriers les moyens de subsister et de perpétuer leurs espèces sans accroissement ni diminution. Le profit est un résidu du produit global après le paiement des salaires et de la rente. Le revenu du propriétaire foncier provient de la différence de rendement des terres exploitées. (Ricardo est le théoricien de la rente différentielle). [...]
[...] Autrement dit, les fluctuations sont inséparables du processus de croissance : on dit qu'elles sont endogènes. CHAPITRE 1 : LA CROISSANCE ECONOMIQUE AU 19E SIECLE Le décollage économique européen Cette notion de décollage a été décrite par ROSTOW dans son ouvrage de 1960, les étapes de la croissance. Selon lui, le décollage économique, c'est cette rupture dans l'histoire d'une société lorsque la croissance devient sa condition normale. La phase de décollage (le TAKE OFF) est brève, environ 1 à 2 décennies et elle réunit 3 conditions : _Le taux d'investissement productif qui doit s'élever de moins de à plus de _ Des industries motrices entraînent l'apparition d'industries d'amont et d'aval _ L'appareil politique et social est axé vers la modernisation économique. [...]
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