Théories du commerce international, politiques commerciales, protectionnisme, mouvements internationaux de capitaux, Politique monétaire européenne, marché des changes
Les fondements de la théorie du CI ont été développés par des auteurs classiques tels que Smith Ricardo et Mill. Cette analyse propose une explication du développement des échanges internationaux liés aux gains que ces échanges procurent aux pays qui y participent.
Les échanges sont mutuellement avantageux pour les pays d'où l'intérêt de se spécialiser dans certaines productions et à renoncer à produire certain biens. La DIT (Division Internationale du Travail) permet de produire davantage et à moindre coûts..
[...] La théorie HOS (Hecksher Ohlin Samuelson) Elle développe une analyse approfondie des fondements des avantages comparatifs. Ainsi un pays détient un avantage comparatif dans la production pour laquelle il dispose d'un facteur de production en abondance. Ce qui permet au pays de bénéficier de coûts relatifs plus faibles que ses partenaires commerciaux : plus un facteur est abondant plus il est bon marché et permet de réduire les coûts de production. - Leontief a émis un paradoxe à cette théorie en démontrant le cas des Etats Unis. [...]
[...] Une politique de monnaie forte chercher à provoquer l'appréciation de la monnaie afin de lutter contre l'inflation. Enfin cette politique vise un objectif de modernisation puisque la baisse des prix des produits importés engendre l'élimination des entreprises peu compétitive. Chapitre 6 : Le SME, principes et résultats En 1978 le SME succède au serpent monétaire européen de 1972. C'est l'exemple le plus aboutit de coopération en matière de taux de change depuis 1944. L'objectif premier était la constitution d'une zone de stabilité monétaire en Europe. [...]
[...] Un taux de change fixe est établit par rapport à un étalon : Or ou dollar. Ce taux de change tourne dans une bande étroite autour d'une parité officielle. Le taux de change flottant vari selon l'offre et la demande. II. Les politiques de change 1. Dévaluation et dépréciation Une dévaluation est une décision officielle des autorités monétaires consistant à diminuer la valeur de la monnaie par rapport à un étalon de référence. Après une dévaluation il est nécessaire de fournir d'avantage de monnaie nationale pour obtenir la même devise étrangère qu'auparavant. [...]
[...] ( Pour les monétaristes (M. Friedman/ I. Fisher) La politique monétaire doit viser à la neutralisation de la monnaie en édictant des règles strictes en matière de croissance de la masse monétaire (surveillance des agrégats) ceci afin de garantir à la monnaie sa stabilité et sa valeur interne et externe. La neutralité monétaire est la variante stratégique de cette économie. Les objectifs théoriques n'ont de sens que s'ils sont représentés par des instruments : facilités permanentes, open market, actions sur les taux d'intérêts. [...]
[...] Du marché commun au marché unique Le traité de Rome a créé une union douanière caractérisée par la suppression des cotât, des droits de douanes et par la mise en place d'un tarif extérieur commun. Dès 1958 les contingents limitant le volume des importations disparaissent et l'union douanière est mise en place dès 1968. L'acte unique fait disparaitre tout obstacle à la libre circulation des marchandises des services, capitaux et des hommes. Il existe de nombreuses imperfections en Europe, l'absence d'harmonisation de la fiscalité notamment TVA et effet de dumping social, et enfin le manque de cohésion sociale sur le coût de la main d'œuvre et les charges sociales (Directive BOLKENSTEIN). III. [...]
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