Microéconomique, théorie microéconomique du producteur, économie, travail, capital, production, producteur, profits, capitalisme familial, capitalisme managérial, capitalisme patrimonial
La théorie microéconomique s'efforce de montrer que les coûts de production sont croissants ( il y a une taille optimale : profit maximal, qui ne correspond pas à un maximum de production. Au fur et à mesure qu'une entreprise grandit : coûts de coordination, de circulation de l'information : coûts bureaucratiques.
[...] Si je diminue légèrement la quantité de travail : quelle quantité de travail puis-je lui substituer raisonnement à la marge = calculer un taux marginal de substitution technique (TMST) = dK/dL (valeur absolue). Si on a une fonction de production Q = f ; K). Productivité marginale du travail PmL = f' ; avec K fixe. Même chose pour le capital mais avec L fixe, dérivée partielle par rapport au facteur capital. TMST = PmL/PmK (analogie avec la théorie du consommateur) On peut définir le sentier d'expansion d'une firme, combinaison des optimums en faisant varier la contrainte budgétaire. [...]
[...] La théorie microéconomique privilégie donc l'hypothèse de rendements décroissants. Avantages de l'hypothèse = réaliste (sinon aucune limite à l'accroissement de la taille des firmes), Seule hypothèse qui permet de garder le système concurrentiel (sur lequel la théorie est fondée). Si les rendements étaient croissants, optimum = optimum de production avec monopole sur tous les marchés. Pose la question de la concentration des entreprises, les fusions- acquisitions (à parité VS plus grande qui absorbe plus petite). Fusion des équipes dirigeants VS une qui part. [...]
[...] ⇨ Avantage : Microsoft a raté la révolution Internet (Google). Les coûts de production à long terme Longue période = période à partir de laquelle le facteur capital n'est plus fixe, devient une variable ( signifie qu'à long terme, travail et capital qui peuvent varier l'un comme l'autre. On considère qu'ils sont donc substituables. Un entrepreneur, pour un même niveau de production, peut arbitrer entre les deux. S'oppose à une situation où le capital et le travail seraient complémentaires : à utiliser dans une proportion fixe. [...]
[...] Explications différentes : Seuil de capital fixe ( la production par tête finit par diminuer, valable dans toute activité. Plus la quantité produite augmente, plus la taille de l'entreprise augmente ( de plus en plus de salariés ( coûts supplémentaires (coordination, circulation des informations = « coûts bureaucratiques »). Zone 1/zone 2 = zone des rendements factoriels croissants/décroissants. Rendements factoriels ( renvoie au fait que le capital ne bouge pas. Si les deux facteurs sont variables ( rendements d'échelle. Représentation graphique du coût moyen : Exercice d'application : Ct = 3Q² + 25Q + 10 ; CF ? [...]
[...] Théorie de la production fondée sur cette différenciation. Différence qui concerne le facteur capital, la microéconomie considère que le facteur travail est variable, quelle que soit la période, mais pas le capital. On considère que le seuil de capital est fixe, court terme = période de temps au cours de laquelle le facteur capital n'est pas modifié ( tous les facteurs production deviennent variables. A court terme : Q = f avec L variable, K fixe. A long terme : Q (output = ce qui sort du système) = f ; (inputs = ce qui rentre dans le système) avec L et K variables. [...]
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