Les Néo-Classiques attachaient une grande importance aux mécanismes des prix, leur analyse se situait au niveau des échanges. Keynes s'est intéressé d'avantage à l'analyse de la production et de la circulation : il s'est intéressé à l'économie salariale où la formation du revenu est déterminée dès la production et à la dépense du revenu dans les achats finaux : la disparition du revenu.
Ses œuvres :
- Traité sur la monnaie : 1930
- Théorie générale de l'emploi et de l'intérêt de la monnaie.
[...] Dans cette première définition apparaît une confusion entre l'accroissement de la richesse personnelle et l'augmentation du capital de secteur productif. Notre problème est plus exactement de définir la formation de capital du secteur productif et d'étudier les conditions de la réalisation de la croissance économique. Pour Keynes, toute dépense des entreprises sur le marché des produits est un investissement. III-] L'égalité entre épargne et investissement et leur relation avec le revenu national : Dans l'analyse macro-économique monétaire; l'investissement est, avec la consommation l'in des éléments qui constituent la demande globale. [...]
[...] La théorie keynésienne de la détermination du revenu et des conditions de la réalisation du plein emploi Keynes : 1884-1946 UK : analyse macroéconomique : il étudie les grandeurs globales telles que le produit national, la formation des salaires ou le revenu national, les dépenses totales de consommation ou d'investissement. Les Néo-Classiques attachaient une grande importance aux mécanismes des prix, leur analyse se situait au niveau des échanges. Keynes s'est intéressé d'avantage à l'analyse de la production et de la circulation : il s'est intéressé à l'économie salariale où la formation du revenu est déterminée dès la production et à la dépense du revenu dans les achats finaux : la disparition du revenu. [...]
[...] Les chômeurs n'ayant pas participés à la production n'offrent pas de produit dont la contrepartie aurait permis d'exercer une demande équivalente. Relation technique : 1 UK = 1 UW 2 UK = 1 UW T1 : 80 UW + 80 UK T2 : 100 UW + 100 UK Dans les pays où il existe une solidarité, les chômeurs vivent des revenus des actifs. Barrière écrit que la suraccumulation fait augmenter le coût de remplacement et diminue le revenu net, ce qui entraîne une dépression La situation de surinvestissement qui engendre la dépression est atteinte quand l'accroissement du revenu net a été suffisamment sensible pour pousser les entrepreneurs à anticiper là sous rentabilité du capital en raison du déclin de l'accroissement encore plus prononcé de la demande de consommation. [...]
[...] Dans ce cas : 100 UPCons = 200 UM Profit = 100 UP Profit Réel = 100 UP Inv. La quantité d'investissement est déterminée par sa production Si les Services producteurs ne dépensent pas la totalité de leur revenu, mais en épargnent une partie : Les entreprises réalisent un profit, car il y a une différence entre la consommation et l'investissement. Secteur destiné à la consommation : S1c Secteur destiné à l'investissement : S2i S1c ( 100 UM ( 100 UP Cons S2i ( 100 UM ( 100 UP Inv. Ces 100 UP Inv. [...]
[...] Keynes : (C+I)-(C'+I') = Profit C+I = Recettes C'+I' = Dépenses Il n'explique pas comment les recettes peuvent dépasser les monnaies, il fonde l'investissement sur l'épargne (qui possède un taux d'intérêt comparé avec le taux de profit) Il propose que l'état finance un déficit monétaire T1 : T2 : Plus grave, chez Schumpeter, ce sont les entreprises et non l'état qui en profitent : Si les banques peuvent créer de la monnaie qui ne rentre pas dans la production, il n'y a pas de limite à cela Le déséquilibre monétaire ou l'inflation déséquilibre peut exister dans la stabilité des prix : Les auteurs Néo-Classiques pensent que l'économie fonctionne de manière harmonieuse si le niveau général des prix reste stable, or, nous allons voir que la persistance d'un déséquilibre monétaire (ou inflation déséquilibre) qui constitue une cause du prélèvement illégitime n'est pas incompatible avec la stabilité des prix Exemple : considérons qu'en T1, le montant de monnaie qui monétise la production dans l'acte de la rémunération des Services Producteurs est de 100 UM pour 100 UP réalisé par les Services Producteurs. Dans l'équilibre monétaire (Offre globale = Demande globale), la dépense du revenu formé à la production (100 UM) signifie l'écoulement de la totalité du produit (100 UP). Supposons que le système bancaire crée 300 UM qu'il prête aux entreprises pour financer leurs dépenses sur le marché des produits. [...]
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