Sciences politiques, Théorie du consommateur, économistes néoclassiques de la fin du XIXème siècle, pholosophie utilitariste, théorie de l'utilité marginale, théorie des courbes d'indifférences, Wilfredo Pareto, Karl Menger
Influencés par la philosophie utilitariste, les économistes néoclassiques de la fin du XIXème siècle ont développé une théorie selon laquelle l'individu rationnel est supposé rechercher le maximum de satisfaction : un maximum d'utilité. La philosophie utilitariste, de Bentham notamment, disait que la valeur d'un bien ou d'un service réside dans les jugements que les individus portent sur leurs besoins : un polaire n'aura pas la même valeur dans l'équateur et dans le pôle nord. La valeur d'un bien est donc subjective : ça dépend de l'utilité que l'on a de ce polaire.
Plusieurs économistes auront la même pensée dans divers pays : un Anglais, Jevons, pose les bases de la micro-économie en réfléchissant à l'épuisement des ressources, l'émission de gaz à effets de serre issus de la modernisation. On a aussi eu l'Autrichien Karl Menger, le Français Léon Walras et l'Italien Wilfriedo Pareto.
[...] Entre deux choix A et le consommateur peut déterminer soit s'il préfère A à soit s'il préfère B à ou s'il est indifférent entre les deux Les choix sont transitifs. Si je préfère A à et je préfère B à alors je préfère A à C. Définition et propriétés des courbes d'indifférence Une courbe d'indifférence représente l'ensemble des combinaisons de 2 biens qui procurent au consommateur un niveau d'utilité identique. C'est-à-dire que U est inchangée quand on se déplace sur le long d'une courbe d'indifférence. [...]
[...] A l'équilibre : Um(X) / Px = Um(Y) / Py En effet, en divisant Um(X) par Px, on mesure bien l'utilité marginale par € dépensé pour acheter le bien X Portée et limites de la théorie de l'utilité marginale Portée Avec le calcul de l'utilité marginale, les théoriciens de la théorie de l'utilité marginale introduisent un principe majeur de l'analyse micro- économique : toute décision individuelle résulte d'une comparaison et d'une égalisation à la marge des coûts et des avantages qui y sont liés, car c'est à ce moment que l'avantage total maximum est atteint. Limites Cependant, la théorie de l'utilité marginale n'est pas excessivement réaliste car une approche cardinale de l'utilité freine le raisonnement. [...]
[...] Toutefois, un individu rationnel ne devrait pas poursuivre sa consommation au-delà de S. On fait donc l'hypothèse que l'utilité marginale est normalement décroissante, mais toujours positive. Le choix optimal du consommateur En situation d'abondance Un consommateur rationnel cherche à optimiser ces utilités, et dans ce cas, le choix optimal consiste à consommer le bien X jusqu'au point où l'utilité totale est à son maximum, le point où l'utilité marginale de X est égale à 0 En situation de rareté, en économie de troc L'individu doit choisir entre plusieurs possibilités de consommation. [...]
[...] La théorie du consommateur Influencé par la philosophie utilitariste, les économistes néoclassiques de la fin du XIXème siècle a développé une théorie selon laquelle l'individu rationnel est supposé rechercher le maximum de satisfaction : un maximum d'utilité. La philosophie utilitariste, de BENTHAM notamment, disait que la valeur d'un bien ou d'un service réside dans les jugements que les individus portent sur leurs besoins : un polaire n'aura pas la même valeur dans l'équateur et dans le pôle nord. La valeur d'un bien est donc subjective : ça dépend de l'utilité que l'on a de ce polaire Plusieurs économistes auront la même pensée dans divers pays : Un anglais, JEVONS, pose les bases de la micro-économie, en réfléchissant à l'épuisement des ressources, l'émission de gaz à effets de serre issus de la modernisation. [...]
[...] Um peut donc être représentée par une courbe croissante Une utilité totale croissante jusqu'au point de satiété U peut être représentée sous forme d'une fonction croissante. Elle atteint son maximum au point S qui est dit « point de satiété ou de saturation du consommateur ». Au point l'utilité marginale est nulle, l'unité supplémentaire de satisfaction X n'apporte plus satisfaction au consommateur. Au-delà du point Um devient négative et U diminue à son tour : une consommation très importante peut entraîner un désagrément pour le consommateur. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture