répartition des richesses, libéraux classiques, salaire, entreprise, investissement, prix du travail du marché, profit, rente, productivité, accroissement, Mill, Smith, Ricardo, croissance économique, Malthus
Il y a 3 importeurs de services producteurs :
- Les travailleurs qui apportent leur travail et qui sont rémunérés par le salaire.
- Les capitalistes qui apportent des capitaux et qui sont rémunérés par les profits.
- Les propriétaires fonciers qui sont rémunérés par la rente.
Comment les classiques appréhendent-ils la rémunération du travail ? La réponse tient en deux temps, car ils ont une vue du salaire en longue période et en courte période.
[...] La répartition des richesses chez les libéraux classiques I. Les éléments à partager Il y a 3 porteurs de services producteurs : ‒ Les travailleurs qui apportent leur travail et qui sont rémunérés par le salaire. ‒ Les capitalistes qui apportent des capitaux et qui sont rémunérés par les profits. ‒ Les propriétaires fonciers qui sont rémunérés par la rente. A. Le salaire Comment les classiques appréhendent-ils la rémunération du travail ? La réponse tient en deux temps, car ils ont une vue du salaire en longue période et en courte période. [...]
[...] : - L'optique réelle de David Hume : le profit découle d'une confrontation entre offre et demande de richesses - L'optique de la productivité marginale de Lord Lauderdale : le taux de profit doit être égal à la productivité marginale du capital - L'optique de la productivité marginale du capital dans le secteur primaire de Ricardo : le taux de profit doit être égal à la productivité marginale du capital dans le seul secteur agricole - L'optique socio-économique de John Stuart Mill : extension des thèses classiques. Elle suggère bon nombre de réflexions concernant l'offre. [...]
[...] L'offre de travail émane des travailleurs qui offrent leur travail en demandant un emploi. Les entreprises demandent du travail en offrant des emplois. On peut considérer avec les classiques que l'offre de travail se trouve donnée puisqu'on ne peut pas la faire varier dans l'instant. La demande de travail elle est déterminée par le bras de la théorie du fond de salaire : plus une entreprise investi plus elle grandit plus elle cumule de capitaux plus elle accumule de fond et donc plus elle demande de travail. [...]
[...] Probablement chez Smith les salaires courants convergent vers le salaire naturel. Chez Malthus, il y a une oscillation du prix de marché du trial et donc du salaire de marché par rapport au salaire naturel. Avec Ricardo, nous allons avoir une analyse plus précise et rigoureuse B. La conception de Ricardo Il existe 3 hypothèses : - Le profit est le moteur de la croissance économique - La loi des rendements décroissants s'applique dans l'agriculture - La loi de population de Malthus est adoptée À partir de là, il y a deux analyses de Ricardo : - Une analyse statique : la rente est déterminée de façon différentielle, le salaire se fixe au minimum de subsistances et le profit est résiduel. [...]
[...] Mill ne verra pas d'un bon œil la rente et sera pour un retour à la collectivité puisque pour lui la rente est un revenu « non gagné ». II. L'établissement du partage A. Les conceptions de Smith et de Malthus Les profits : Adam Smith prétendra qu'à la longue les profits déclineront. Les opportunités d'investissement deviennent de moins en moins nombreuses et donc il n'y a pas de possibilité de sortie pour le capital. Il reconnaissait cependant que ce n'était pas le cas de son époque, les profits montaient en puissance. La thèse est pessimiste, mais reprise par de nombreux classiques. [...]
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