Partage de la valeur ajoutée, approche néoclassique, Kalecki, Marx, Ricardo, théories du partage, concentration du capital, modèle d'Hecksher, OCDE, Cobb-Douglas
C'est un sujet politique important, on constate l'existence de plusieurs théories économiques à ce sujet. Il y a une difficulté de la mesure de la valeur ajoutée. Il faut faire des analyses entre pays, le partage capital travail a peu évolué en France et aux USA contrairement en Allemagne et en Italie. La rémunération du travail est tirée vers le haut par les hauts salaires des diplômés.
[...] Le poids des différents secteurs n'influe pas empiriquement sur la répartition. Aucune théorie ne donne satisfaction pour expliquer la répartition de la VA. Les déterminants empiriques du partage de la valeur ajouté Même si pas de théorie on peut voir s'il y a des déterminants pour expliquer les variations de la VA à court et moyen terme. Importance des caractéristiques de la fonction de production et du progrès technique, le pouvoir de marché des entreprises, les rigidités jouent elles aussi un rôle ce qui permet de dégager des rentes pour les entreprises ou bien donner un pouvoir aux syndicats, déséquilibrent sur le marché qui fait que les travailleurs ne sont pas rémunéré à leur Pm et cela est montré par le taux de chômage, chocs d'offres. [...]
[...] Mais empiriquement ce n'est pas le cas, on peut l'expliquer par l'ouverture des économies et l'émergence d'une société de service. Donc baisse de la part du travail signifie un problème dans ce modèle. L'approche néoclassique La Cobb-Douglas En CPP avec le modèle néoclassique, rémunération des facteurs à leur productivité marginale, stabilité de la part des facteurs dans la VA. Plus de débat capital/travail car même si le salaire augmente il est compensé par la baisse du chômage. Conflit à présent entre travailleur en emploie et ceux qui en cherchent. [...]
[...] si salaire réel au-dessus du salaire naturel alors augmentation démographique qui va entraîner une augmentation des travailleurs et à terme baisse du salaire réel pour se rapprocher du salaire de subsistance. La rente s'obtient entre la différence de la production de la terre donnée avec la différence de la terre la moins fertile. Dans cette optique le profit n'est qu'un résidu. Répartition qui dépend de l'évolution démographique. Mise en culture de terres de moins en moins fertile et donc les salaires et les rentes qui augmentent avec l'augmentation des prix des produits agricoles. Donc diminution du profit et état stationnaire de long terme de l'économie. [...]
[...] Partage de la VA vue comme un indicateur des inégalités car le capital serait concentré, mais vision simpliste car il y a aussi des inégalités de salaires donc augmentation de la part du travail pas forcément synonyme de réduction des inégalités. Ainsi on note des évolutions au sein même du capital avec une place prépondérante des dividendes mais aussi au sein du travail avec une place importante des hauts revenus. Ressenti de la population après la crise de 2008 qui se dégrade. Perception d'une inégalité de la distribution des richesses. Places importantes des jugements moraux et sociaux. [...]
[...] Difficulté de la mesure de la VA. Faires analyses entre pays, le partage capital travail a peu évolué en FR et aux US contrairement en Allemagne et en Italie. Rémunération du travail tiré vers le haut par les hauts salaires des diplômés. Chapitre 1 : La question du partage de la valeur ajoutée et ses théories VA = richesse créée au cours d'une période donnée ainsi que son partage ont été analysé par les économistes et ont abouti à des théories. [...]
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