Orthodoxie en économie, économie orthodoxe, équilibre général, mathématisation des choix, maximisation de la richesse
Adam Smith est le créateur de la main invisible (autorégulation du marché : l'État ne doit pas intervenir, le marché a deux défaillances, il répartit inégalement les richesses et ne crée pas d'emplois). Cette orthodoxie explique la croissance de la taille de l'état. L'évolution sur la période 1870 jusqu'à aujourd'hui, c'est en forme de S. En 70 la taille de l'état c'est 10 % du PIB. En 90 ça se stabilise, autour de 55 %. Conséquence : 50 % de la richesse nationale n'est pas affectée par le système des prix, mais par un système politique. Dans ses 50 % on a 3 types de dépenses celles des administrations publiques locales, celles de l'état et celles de la sécurité sociale. Celles de la sécurité sociale augmentent le plus.
[...] Le prix doit être le seul facteur qui discrimine entre les biens. Ces conditions permettent de s'assurer d'un prix unique. Dans un marché parfait, il ne peut pas y avoir coexistence d'une multiplicité de prix. Si jamais il y avait un déséquilibre de prix, cad un prix inférieur à un autre prix, immédiatement tous les acheteurs iraient chez le moins cher. Il n'y a aucun intérêt pour le vendeur le plus cher d'augmenter ses prix. Chez Smith c'est le prix naturel. [...]
[...] Chaque individu possède un revenu, que l'on appelle notre revenu est égal à notre salaire. On dépense en biens x ou en biens ce sont les quantités. A chaque bien nous avons un prix. Si on dépense l'intégralité de notre revenu en bien y la quantité maximum que l'on peut dépenser, c'est notre revenu : contrainte de revenu. Nous sommes tous en train de maximiser notre utilité sous contrainte de notre revenu : pyY + pxX. Graphiquement, on ne choisit pas un niveau d'utilité en dessous de notre revenu. [...]
[...] Ces deux trappes sont issues de la théorie de la rationalité. SI les individus sont rationnels, on s'attend à cela. Autre conséquence de cette approche : si on augmente les impôts, on dé-incite à travailler. Deuxième prédiction : Si on augmente l'impôt sur les salaires, alors il y a moins d'offre de travail. Car cela baisse le cout d'opportunité du loisir. Avant l'impôt, une heure de loisir nous coutait 500E, après impôt, une heure de loisir nous coute 300E. On a un effet négatif sur la croissance et sur le W. [...]
[...] Un producteur qui maximise son profit, en répondant à la demande des consommateurs. Un marché n'existe que parce qu'il y a des institutions. La théorie définie le marché comme un système de prix. Le droit peut être analysé comme un système de sanctions et de récompenses. Le prix révèle le consentement à payer des agents, ainsi que la valeur. Sur un marché, ce qui détermine notre environnement, sont les conditions de la concurrence, qui peut être pure et parfaite ou imparfaite. [...]
[...] Pourquoi ? Parque qu'il y a égalité entre épargne et investissement grâce au taux d'intérêt. L'investissement est une demande de ressource, de et face à cette demande on a une offre d'épargne. L'investissement est une fonction décroissante du taux d'intérêt. En revanche, l'épargne est une fonction croissante du taux d'intérêt. On suppose qu'un marché encadré dans des règles, fixe des prix d'équilibre qui permettent d'égaliser l'offre à la demande. Un partie de la monnaie peut créer un déséquilibre entre l'Offre et la Demande ce qui entraine une crise de sous consommation. [...]
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