Les économistes, cherchant à identifier cette croissance, se sont interrogés sur la place occupée par TIC dans la dynamique de croissance. Les interprétations sont différentes ; pour certains, la croissance enregistrée s'explique par des facteurs purement technologiques et pour d'autres, la croissance résulte de la conjonction de phénomènes certes techniques mais aussi institutionnels, éco et politiques.
Mais sur un plan qualitatif, la croissance paraît présenter certaines caractéristiques, la différenciation des phases de croissance antérieures. D'où le qualificatif de nouvelle éco pour caractériser la croissance en question (...)
[...] Au niveau du radicalisme américain, ce débat est plutôt sujet à controverses. Pour certains, la reprise enregistrée par l'éco américaine au cours 90's ne serait pas le symptôme de l'entrée de cette éco dans une nvelle phase d'expansion longue mais serait un sursit provisoire dans une phase de dépression longue qui aurait été débuté au cours 70's et pas encore achevé au début 2000's. D'autres radicaux postulent que l'éco américaine serait entrée dans une nvelle phase A et ils soulignent le rôle actif des politiques éco menées. [...]
[...] Ccl° : en Europe, en tant qu'instrument de politique éco, la politique monétaire est complètement neutralisée alors qu'aux USA elle est active et sert de soutient massif à la croissance et à l'emploi. Cet activisme au sein de la politique monétaire se retrouve au sein d'autres secteurs. Les USA systématisent le recours aux politiques sectorielles. Le recours à des subventions massives pour certains secteurs d'activité jugés stratégiques. Développement des clusters (grappes industrielles) qui sont des pôles de compétitivité à très fort contenu technologique. [...]
[...] Sur cette période, le niveau de croissance augmente de 36% et 35 millions d'emplois sont crées au sein de l'éco américaine. Ce dynamisme apparent doit être modulé. Ex : en matière de chômage, si les performances de l'éco américaine sont remarquables sur cette période, il n'en demeure pas moins que la chute du chômage a été accentué pdt les 80's qu'en 1990. Mais cette croissance se caractérise par la faiblesse structurelle de l'inflation, un peu moins de / an et la faiblesse du taux de chômage qui se situe aux USA à environ 4%. [...]
[...] VILLEMEUR La croissance américaine ou la main visible de l'Etat (2007) L'objectif de Villemeur est de comparer les perf respectives de l'éco américaine et européenne depuis le début 80's. Il se propose d'identifier les spécificités de la croissance américaine enregistrée entre 1982 et 2001. D'aps lui, loin d'être libérale, la croissance américaine enregistrée sur cette période serait de nature keynésienne. Depuis 80's, on constate qu'en europe le croissance ralentit als qu'aux USA elle tend à se dynamiser. Cette période est caractérisée par le retour en force du néo keynésianisme caractérisé par la vague de privatisation, déréglementation et démentellement du service public. Officiellement, le keynésianisme est abandonné. [...]
[...] Processus de la croissance endogène Hyp : une dépense en recherche et développement sur l'apparition d'un nvx pdt qui rep aux attentes des consommateurs, il en résulte alors que les entreprises seront incitées à créer de nvx sites de à offrir de nvx services, à créer de l'emploi et ce en faisant le pari de la pérennité de ces nvx pdts et de la stabilité du personnel. En même temps, les consommateurs, en plébiscitant ces nvx pdts, confortent les stratégies menées par les entreprises. Par csqt, il en résulte une baisse du chômage, des créations d'emploi et une amélioration de la croissance éco. On voit apparaitre un cercle vertueux de la croissance qui va s'auto entretenir. [...]
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