économie réelle, rôle social, théorie quantitative, Keynes, épargne
La monnaie a-t-elle une influence sur l'économie réelle ? Un prix est quelque chose e monétaire exprimé en monnaie. Le chômage n'est pas une grandeur monétaire, c'est une grandeur réelle. Le PIB exprimé en monnaie est une valeur monétaire mais lorsqu'il est exprimé différemment qu'en monnaie est une valeur réelle. L'existence de la monnaie, son utilisation et la quantité qui circule dans l'économie, agit sur les grandeurs réelles, l'économie réelle ? Il y a deux visions : une qui pense que la monnaie n'a aucune influence sur l'économie réelle, c'est l'hypothèse de la neutralité de la monnaie et une position totalement inverse qui pense que la monnaie modifie de manière importante l'économie réelle. Si on a une monnaie issue d'une nécessité de l'échange, la monnaie est neutre. La monnaie qui agit sur l'économie réelle tient son impact de son rôle social.
[...] C'est le prix sur le marché de ma monnaie entre l'offre et la demande de monnaie. Keynes disait que les classiques n'avaient pas vu l'importance de la thésaurisation c'est-à-dire que cette possibilité que les agents économiques ont de conserver leur monnaie ou non. En incitant sur le fait que les agents économiques ont le choix de la détention sous forme de monnaie ou autre actif (conserver la monnaie à cause de sa liquidité), on se pose la question de la thésaurisation. [...]
[...] Elle n'a pas d'influence sur la réalité des échanges mais les facilites. Elle n'a pas d'influence sur le nombre de transactions. La monnaie est neutre. L'offre de monnaie mis à dispositions par les autorités est exogène. Ils décident de manière autonome quelle quantité de monnaie est mise en circulation. Celle-ci n'est pas déterminée par le nombre de transactions . Supposons que la masse monétaire varie, le nombre de transactions et la vitesse de circulation de la monnaie ne varie pas, il faut, pour respecter l'égalité, que P varie. [...]
[...] La monnaie est une réserve de valeur mais n'est pas la seule. Néanmoins, elle est la plus liquide. Donc, quand on reçoit un revenu, on se demande qu'elle part in consomme et qu'elle part on conserve (classqiue). Mais Keynes pose une autre question, qu'elle est la forme de mon épargne qui va se trancher par la préférence pour la liquidité. Plus on a de préférence pour la liquidité, plus on conserve l'épargne sous forme de monnaie. Moins on a de préférence, moins on la conservera sous forme liquide (actions Le rôle du taux d'intérêt est modifié par la préférence pour la liquidité. [...]
[...] La monnaie a-t-elle une influence sur l'économie réelle ? Un prix est quelque chose e monétaire exprimé en monnaie. Le chômage n'est pas une grandeur monétaire, c'est une grandeur réelle. Le PIB exprimé en monnaie est une valeur monétaire mais lorsqu'il est exprimé différemment qu'en monnaie est une valeur réelle. L'existence de la monnaie, son utilisation et la quantité qui circule dans l'économie, agit sur les grandeurs réelles, l'économie réelle ? Il y a deux visions : une qui pense que la monnaie n'a aucune influence sur l'économie réelle, c'est l'hypothèse de la neutralité de la monnaie et une position totalement inverse qui pense que la monnaie modifie de manière importante l'économie réelle. [...]
[...] Si la masse monétaire augmente, le niveau général des prix augmente dans les mêmes proportions. Une variation de la masse monétaire conduit à une variation proportionnelle d'une variation du niveau général des prix. Chacun d'entre nous détient une certaine quantité de monnaie. C'est la masse monétaire qui correspond à ce que l'on souhaite garder comme monnaie. On l'appelle l'encaisse. Sa valeur réelle est ce qu'elle va nous permettre d'acheter. Chaque agent conserve un certain d'encaisse réel adapté à ce qu'il a l'intention de faire. [...]
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