La combinaison des facteurs de production s'effectue à l'intérieur de l'entreprise. Les entreprises ont une double mission : celle de combiner aussi efficacement que possible les facteurs qu'elle se procure sur les biens et services productifs, et celle d'adapter l'offre du produit qu'elle fabrique aux demandes des consommateurs. L'entreprise est donc située à la charnière de deux types de marchés.
La combinaison des facteurs de production se fait selon certaines lois : les lois de la combinaison des facteurs de production. C'est un problème dominé par le caractère un peu contradictoire des deux types de relations qui s'établissent entre les facteurs. Les facteurs sont d'une part complémentaires et d'autre part, liés par une relation inverse de substituabilité. Cette notion de substituabilité pose un problème, celui du chômage technique. La question est « le progrès technique est-il une cause de chômage ? » La réponse est les machines créent du chômage à court terme, mais à long terme elles créent des emplois en diminution les prix des produits, elle provoque une augmentation de la demande de production et des emplois. La machine exige pour sa fabrication de la main-d'œuvre. La relation de complémentarité pose des problèmes de dosage entre les facteurs.
[...] Les quantités vendues varient en sens inverse des prix. En courte période, c'est la quantité Q1 qui maximise le profit. Quantité qui est vendue au prix P1 et qui permet de faire un super profit représenté par le rectangle ABC. En longue période : Première hypothèse : on applique la politique de prix limite, on fixe P2 Q1 et d'obtenir un super profit A'B'C' supérieur à celui de courte période mais conséquent quand même et qu'on ne veut pas le perdre. [...]
[...] Elle réalise alors des profits importants. L'offre des entreprises qui investissent va s'accroître sur le marché, on aura le déplacement de la courbe d'offre vers la droite jusqu'au moment où tout profit supra normal aura disparu c'est-à-dire lorsque le prix P2 sera égal au minimum de la courbe de coût moyen. P2 sera donc le prix d'équilibre de la longue période sur le marché, en courte période c'est la quantité Q1 offerte, et en longue période c'est la quantité Q2 offerte Les caractères du prix de concurrence pure et parfaite. [...]
[...] Il ne lui vient jamais à l'esprit qu'il puisse en s'associant à d'autres agents influencer l'offre ou la demande globale et échapper aux contraintes du marché. Ainsi, en rejetant de leurs analyses, l'analyse des coalitions, les classiques laissent en dehors de leur théorie la dimension sociale du prix. b. Les types d'organisations. L'analyse, ici, concerne la forme du marché, trois traits permettent de le caractériser : - L'homogénéité des produits : le prix qui se forme concerne un produit considéré comme homogène. [...]
[...] Les caractères du prix. Le prix de longue période : Il est supérieur à celui de la concurrence pure et parfaite et la quantité offerte est inférieure. Donc cet équilibre est moins avantageux pour le consommateur. Chaque firme n'utilise pas ses capacités de production pleinement puisqu'elle s'arrête de produire avant d'avoir atteint le minimum de la courbe de coût moyen. Conclusion Nous avons sur le marché des firmes trop nombreuses de dimensions insuffisantes et où pourtant aucune n'utilise pleinement sa capacité de production. [...]
[...] La courbe de recette sera donc inclinée sur les axes. Du côté de l'offre : Les économistes classiques supposaient une parfaite liberté d'entrer sur le marché. La théorie moderne analyse la restriction à l'entrée sur le marché. En effet, les déplacements de l'offre se heurtent à deux séries de limitations : Les limitations de faits : o L'incertitude des investissements : un investissement reste un pari o La rigidité des facteurs de production : lorsque le capital monétaire a été transformé en capital technique, il ne se déplace plus aussi facilement. [...]
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