-du côté de la demande : Spence, théorie du signal : les employeurs ignorent les capacités réelles des offreurs et choisissent en fonction de signaux. Le savoir enseigné ne vaut donc pas par lui-même. les étudiants investissent dans des études longues non pas pour améliorer leur productivité intrinsèque mais pour produire un signal. L'inflation entre cette offre et cette demande de signaux peut générer une inflation des diplômes.
-du côté de l'offre : l'offreur n'a pas une vision synoptique du marché. Il choisit le premier emploi assorti d'un salaire supérieur au salaire de réservation (...)
[...] - du côté de l'offre : l'offreur n'a pas une vision synoptique du marché. Il choisit le premier emploi assorti d'un salaire supérieur au salaire de réservation. Première version des contrats implicites : sans asymétrie d'information, Baily, Azariadis. Conjoncture future inconnue au moment de l'embauche. L'offreur a une aversion pour le risque et l'employeur est neutre. Le contrat de travail se double d'un contrat d'assurance (prime = écart productivité rémunération en période de boom et indemnité= le même écart de signe opposé en période de récession). [...]
[...] Sociologie : Peter Blau : Exchange and power in social life Analyse du lien social et particulièrement du lien au travail en terme d'échanges. Une théorie du groupe et des organisations : les individus s'agrègent à un groupe lorsque ils estiment que les avantages de ce rattachement sont supérieurs au coût. Des possibilités d'échange entre groupes sociaux : patrons/employés par exemple. La notion de norme permet l'échange indirect entre les deux groupes : Quatre types de valeurs aux fonctions différenciées qui permettent les transactions : - Valeurs associées à l'intégration et la solidarité : union autour de l'effort pour l'entreprise, la lutte contre le chômage. [...]
[...] Si ils ne se syndiquent pas, le syndicat ne prend en compte que les insiders. Le salaire des insiders est plus élevé si il y a moins d'emploi. Ce que l'on appelle la préférence française pour le chômage Le problème du niveau de la négociation : introduire l'existence de syndicats dans le modèle classique. Ils se distinguent par leur courbe d'indifférence qui expriment les arbitrages entre salaire réel et emploi. On déduit la courbe d'offre du salaire du syndicat qui est supérieure à la somme des courbes d'offre individuelles. [...]
[...] Lindbeck et Snower : un conflit opposant les personnes employées et les chômeurs. Les entreprises ne peuvent pas employer des outsiders car les insiders refuseraient de coopérer avec eux. L'idée de départ est qu'une partie des personnes qui perdent leur emploi se trouvent de fait exclues du marché du travail ce qui signifie qu'ils n'exercent plus de pression sur le salaire de ceux qui continuent à avoir un emploi. Ces exclus sont les outsiders. Ils sont exclus du syndicat : la taille du syndicat en t est fonction de l'écart entre le niveau de l'emploi et le nombre de syndiqués en l'emploi espéré par le syndicat dépend du niveau de prix qu'il anticipe. [...]
[...] Ce n'est pas une relation causale : elle est plutôt inverse, ce serait plutôt le salaire qui agirait sur la productivité : Leibenstein : X-efficiency : la productivité est fonction du salaire réel. Dans les pays de l' OCDE. De meilleures conditions de vie des travailleurs. A la base, réflexion basée sur la nutrition : mieux nourri, meilleur productivité : Yellen : son but est d'expliquer pourquoi une firme qui aurait à première vue intérêt à baisser les salaires, lorsque le chômage dépasse son niveau naturel, ne le fait pas. [...]
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