Il se présente sous la forme de 2 courbes : l'une sur le marché des biens (IS) et l'autre sur le marché de la monnaie (LM).
Il permet de déterminer l'équilibre simultané sur les 2 marchés.
Quel est l'intérêt du modèle ISLM ?
- C'est de montrer l'interaction entre secteur réel et secteur financier.
- Dans les faits, c'est la politique budgétaire qui modifie la position de la courbe IS et la politique monétaire qui modifie celle de LM. C'est pourquoi, le modèle IS LM permet de mesurer les effets des politiques conjoncturelles, qu'elles soient budgétaires ou monétaires.
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[...] Quel est l'intérêt du modèle IS LM ? - C'est de montrer l'interaction entre secteur réel et secteur financier. - Dans les faits, c'est la politique budgétaire qui modifie la position de la courbe IS et la politique monétaire qui modifie celle de LM. C'est pourquoi, le modèle IS LM permet de mesurer les effets des politiques conjoncturelles, qu'elles soient budgétaires ou monétaires. Remarque : Même si l'on affirme que c'est un modèle néo classique et keynésien, en réalité les éléments typiquement keynésiens comme l'incertitude, les anticipations ne sont pas pris en compte ! [...]
[...] Keynésien c. Classique Policy mix = combiner PB et PM pour éviter l'effet d'éviction en maintenant r constant. L'impact de la politique budgétaire est maximal. IV. Equilibre réel et équilibre monétaire simultanés : IS LM L'équilibre IS LM Les déplacements de l'équilibre IS LM PM: hausse Mo par: Openmarket (sous cas: keynésien extrême de trappe à liquidité, keynésien et classique) DP Subvention du secteur public PB: financement par : Emprunt (sous cas: cas keynésien extrême, keynésien et classique) Impôts CM Policy mix Cas extrêmes: a. [...]
[...] La courbe IS est verticale. Il n'y a pas besoin d'augmenter le taux d'intérêt pour maintenir l'équilibre. Le taux d'intérêt va quand même augmenter, mais sans aucune conséquence sur le revenu (car l'investissement est insensible au taux d'intérêt). Donc, il n'y aura pas d'effet d'éviction car le transmetteur de la hausse du taux d'intérêt sur le marché des biens n'existe pas (car INV exogène). L'effet du multiplicateur keynésien est maximal. I IS 1 IS 2 LM I2 I1 Y1 Y2 Cas particulier le cas classique PB hausse Y Md pour M1 augmente i augmente fortement or Mo est inchangé (et Md pour M3 très peu sensible à donc Mo [...]
[...] Comment se traduit un accroissement de la MM? Un accroissement de la masse monétaire se traduit par un déplacement de la courbe LM vers la droite (voir la figures 3.2 et 3.3 ) selon l'enchainement suivant : Mo > Md baisse r hausse INV hausse D hausse Y (effet multiplicateur) . Les effets de la PM en général Une politique monétaire expansionniste déplace la courbe LM vers le bas (de LM vers LM' sur la figure) ; le taux d'intérêt diminue ainsi de r à et la production augmente de Y à Y L'ampleur de la variation de Y dépend : -de la pente de la courbe IS : plus la courbe est plate, plus la relance est efficace ; - de la pente de la courbe LM : plus la courbe est verticale, plus la relance est efficace. [...]
[...] Représentation graphique de l'équilibre LM III. L'équilibre sur le marché de la monnaie Détermination du taux d'intérêt sur le marché de la monnaie Construction de la fonction globale de liquidité/ Md Déplacement de LM 3. Déplacement de la courbe LM La position de la courbe LM dépend : de l'offre de monnaie du niveau des prix du comportement des agents (propensions, élasticités). AUGMENTATION DE Mo Si l'offre nominale de monnaie augmente de M à M alors que P reste inchangé (pas d'inflation), l'offre réelle de monnaie augmente de M à M Pour Y donné, cela correspond à une diminution de r à du taux d'intérêt, ce qui conduit à un déplacement vers le bas de la courbe LM. [...]
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