Il y a un parallèle entre l'évolution des sociétés c'est-à-dire d'une société qui de nature statique devient progressivement une entreprise dynamique / un capitalisme industriel qui va se développer et se complexifier.
Le marché, c'est le lieu de rencontre réelle / concret qui se fait sur une place publique où les biens échangés sont exposés. Les offreurs et les demandeurs se rencontrent physiquement sur ce lieu. Ils échangent et débattent autour d'une variable clé : le prix.
Au fur et à mesure que les sociétés se développent, la notion de marché évolue. Grâce au moyen de télécommunication les transactions se font à distance. Les offreurs et les demandeurs ne se rencontrent plus dans un même lieu / le même espace.
On est passé d'un marché national à des marchés internationaux où les transactions se font à distance.
[...] On parle de différenciation objective des produits : on offrira un meilleur service après vente, on fera preuve d'innovation, le produit sera mieux que celui du concurrent et à côté on a une différenciation subjective qui se mesure par le faite en utilisant de la publicité ou de certaine technique de marketing. On va véhiculer une image de produit. - Nous sommes dans un contexte ou la mobilité des facteurs de production est quasi inexistante aujourd'hui. Au 18ième siècle on est en présence d'entreprise qui ont des machines peut sophistiqués qui peuvent être réutilisé dans n'importe quel structure alors qu'aujourd'hui ce n'est plus le cas. Au 18ième siècle, la MO n'était pas qualifié donc on pouvait changer d'entreprise comme on voulait ; aujourd'hui avec les qualifications ce n'est plus le cas. [...]
[...] C'est le comportement des consommateurs qui va nous guider. Dans le cas où les consommateurs vont acheter les biens et vont être intéressés par le produit que l'on va créer, produire, fabriquer ; le prix va augmenter. Conséquence : il y a intérêt à produire davantage. Les entreprises concurrentes vont aussi produire davantage donc l'offre va s'accroître. Sauf qu'à la période suivante, les prix vont diminuer. A l'inverse, si on se trouve face à des consommateurs qui délaissent un produit, les prix vont baisser. [...]
[...] L'Etat, c'est un seul acheteur qui a des normes L'oligopole Quelques vendeurs face à une multitude d'acheteurs. Il y a deux situations qui sont envisageables. Oligopole non coopératif = quelques offreurs qui vont être en concurrence féroce sur les prix pour éliminer les concurrents. Oligopole coopératif = quelques groupes vont s'entendre pour se répartir les parts de marché. Ils fixent des objectifs communs en matière de prix. Tout ça dans le but de maximiser leurs profits. C'est quelque chose qui fige la concurrence L'oligopsone Plusieurs acheteurs et quelques demandeurs. [...]
[...] Tous ces comportements qui fosse la concurrence qui sont des limites à la régularisation. Ces pratiques sont condamnables et font l'objet d'une réglementation par le biais d'une ordonnance du 1er décembre 1986 qui donne lieu a des sanctions pénales à toutes les entreprises les interventions de l'Etat L'Etat de part ses interventions génère des entraves à la concurrence. L'Etat est intervenue fréquemment au niveau des prix en les bloquants et notamment après la 2nde Guerre Mondiale grâce à une ordonnance du 30 juin 1945, l'Etat a décidé de mettre en place une politique de blocage des prix. [...]
[...] (doc3) L'élasticité prix : réaction de la demande par rapport à la variation des prix. C. Les revenus de la propriété : Toutes les formes de placements que peuvent, effectuer les ménages. On peut distinguer les actifs réels, et les actifs monétaires financiers. (Doc Actifs réel : le fait de détenir des biens immobiliers, des valeurs refuges. Actifs monétaires financiers : des placements d'épargne à court terme, placement bancaire traditionnelle donc tout ce qui rentre dans les placements intermédiaire. Ils génèrent des revenus. Section 2 : la redistribution I. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture