management, théorie, organisation, approche classique, hiérarchie, Frederick Winslow Taylor, Max Weber, Henry Ford, Henri Fayol, division horizontale du travail, division verticale du travail, salaire, chronométrage des opérations, théorie de l'organisation scientifique du travail
La théorie permet d'expliquer un phénomène et va nous aider à comprendre ce qui se passe. Elle accompagne des faits extérieurs et intérieurs à l'organisation, à l'entreprise. Derrière une théorie, on peut avoir des outils pour nous aider. Données, connaissances, théories et méthodes sont liées.
L'intérêt de développer des théories, c'est de comprendre dans quel cas on se situe.
[...] Le contrôle doit être rapide et suivi de sanctions. Chaque acteur, que ce soit de l'ouvrier au dirigeant, exerce ces 6 activités, mais dans des proportions variables. Pour lui c'est l'activité administrative qui est la plus importante dans l'entreprise, car on ne peut pas la déléguer. L'activité de prévoyance est aussi essentielle, car c'est la fonction principale de l'activité administrative. En effet, on estime le futur pour pouvoir s'y adapter, en mettant en place des actions pour que ce futur se réalise. [...]
[...] • Initiative : on doit permettre au personnel de concevoir un plan et d'en assurer la réussite. C'est considéré comme un élément de motivation essentielle. • Union du personnel (ou esprit de corps) : L'union fait la force, on va mettre en avant l'importance du travail d'équipe et de communication. On évite de diviser son personnel et d'abuser des communications écrites. C'est une opposition avec le principe Weberien des relations impersonnelles. Avantages et inconvénients III. Synthèse sur l'approche classique En définitive, le modèle classique est encore appliqué aujourd'hui. [...]
[...] Il y a aussi la décentralisation de la production dans d'autres pays. Nos modes de consommations évoluent, on a des expériences maintenant (IKEA et son labyrinthe, vente de meuble et vente de nourriture, en coproduit on monte nos meubles), on coproduit. • Le contexte technologique : avec la transformation numérique, l'humain disparaît de la chaîne de productions, les robots vont faire l'activité à la place des hommes. Nous sommes dans un modèle d'intermédiation numérique. Exemple : UBER resto via les plateformes qui informent les livreurs à vélo, recevant des ordres de livraison. [...]
[...] • Discipline : qualité des supérieurs et de l'encadrement, obligation d'obéir selon les conventions établies. Elle correspond aux valeurs de l'entreprise. • L'unité de commandement : Chaque employé ne doit relever que d'un supérieur, autrement ce serait source de conflits. Ce principe est en opposition avec l'approche taylorienne. • L'unité de direction : chaque groupe d'activité partageant un même but, dois avoir un seul dirigeant et un seul plan. • Recherche de l'intérêt général : Subordination des intérêts individuels à l'intérêt général. C'est-à-dire que les buts de l'entreprise sont prioritaires sur ceux des personnes. [...]
[...] En effet je ne vais pas à obéir à l'individu, mais à une personne qui occupe telle fonction dans l'organisation. Exemple : Je ne vais pas obéir à madame Ah-Hoc, mais je vais obéir à la responsable pédagogique, car c'est sa fonction. On doit distinguer le pouvoir et l'autorité : 1. L'organisation idéale de Weber Pour son fonctionnement, une organisation efficace doit répondre à des exigences de contrôle, c'est-à-dire qu'elle doit s'assurer de la fidélité et de l'uniformité des comportements de ses membres. Le contrôle c'est aussi faire en sorte que les règles soient respectées. [...]
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