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L'économie qui s'est développée avec la révolution industrielle s'inscrit dans une démarche scientifique : Observer, Théoriser, Vérifier (Tester).
Elle est donc passée du statut d'économie politique au statut de science économique.
L'économie est l'activité qui mobilise des ressources humaines (temps, intelligence, compétence, capacité de travail...), financières et matérielles (matières premières, machines, logiciels informatiques, locaux...) pour produire des biens et des services qui n'existent pas en quantités illimitées.
L'économie explique comment ces biens et services qui constituent la richesse sont créés et répartis entre les membres de la société.
Pour réaliser cette richesse, les hommes mettent en place des structures (entreprises, marchés...) et des systèmes (capitaliste, socialiste, néolibéral, asiatique...) afin de favoriser la production de la richesse et sa répartition. La richesse ainsi créée a pour but de satisfaire les besoins humains.
L'économie étant une science humaine, l'homme est donc l'élément de base de la réalité économique. Pour expliquer le fonctionnement de l'économie, il faut comprendre et expliquer le comportement de l'homme. Mais comme son comportement échappe à toute formalisation définitive, l'économiste ne peut que dresser des hypothèses comportementales.
Cependant, il existe une difficile neutralité de l'économiste. Il lui est souvent impossible, face à un fait économique de faire abstraction de ses préjugés, de ses opinions politiques, philosophiques ou morales.
[...] C'est ce qui reste à l'entreprise après que celle-ci ait versé les revenus salariaux. • Le taux d'autofinancement = EB/FBCF. Ce qui traduit la capacité pour l'entreprise de financer ses investissements avec ses propres fonds Les ratios critiques Ils concernent tout le monde. On les qualifie de critiques, car ils nous indiquent lorsque l'économie nationale entre dans une zone critique. Ces ratios donnent l'alerte au gouvernement. • Le taux d'endettement extérieur : BF/PIB (besoin de financement au niveau national). Taux d'endettement de la nation. [...]
[...] Le compte de production C'est le compte le plus simple. C'est celui qui nous informe sur la richesse créée par le secteur institutionnel. Tous les secteurs passent par ce compte. L a production entraîne une recette de production. Dans les ressources, on retrouve toute forme de production : production marchande des entreprises individuelles, production non marchande des ménages, production pour emploi final propre Pour les ménages, on peut avoir les trois formes. Pour les SNF, que la production marchande etc. [...]
[...] *Ce schéma est le point de départ des exercices à venir que l'équilibre du marché notamment. Conclusion du graphique : Les néoclassiques ont conclu que le premier effet (ce que l'on a au milieu) l'emportait sur le second (extrémités) et que l'offre de travail est une fonction croissante du salaire réel. L'offre de travail peut représenter la population active (chômeurs involontaires mais aussi des individus recevant déjà un salaire et qui décident de ne pas travailler (chômeurs volontaires). Offre de travail = population active – chômeurs volontaires. [...]
[...] La demande de travail chez Keynes est identique à celle des néoclassiques. La critique qui est formulée par Keynes de l'offre du travail chez les néoclassiques concerne le paramètre « salaire ». Il affirme que l'offre de travail n'est pas une fonction croissante de salaire réel, mais du salaire nominal. En réalité, pour lui, les offreurs potentiels (généralement les chômeurs) doivent déterminer leurs comportements (offres) en fonction des seuls salaires nominaux qui font l'objet de négociations dans les entreprises. Dans le court terme, la seule information dont disposent les travailleurs porte sur le salaire nominal. [...]
[...] L'impôt total (Ttot) est l'ensemble des impôts reçus par l'État pour faire face aux dépenses nationales. Il faut surveiller ce taux. Il indique la pression fiscale que l'État exerce sur l'économie nationale. Il est combiné au taux de prélèvements obligatoires. Si les dépenses de l'État sont élevées, l'économie est donc dans une mauvaise situation. • Le taux de prélèvements obligatoires : (T+CS)/PIB. Il permet de mesurer l'intervention de l'État dans l'économie. • Le taux d'investissement : FBCF/PIB. Il traduit le dynamisme de l'activité économique. On parle actuellement de réindustrialisation. [...]
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