C'est l'étude du fonctionnement global d'un ensemble économique à travers les relations entre les grands agrégats, le revenu, l'investissement la consommation, le taux de chômage, l'inflation...
La macroéconomie se distingue de la microéconomie car les domaines d'analyse sont différents et la manière d'aborder la question économique est différente.
Deux domaines d'analyse, l'Etat prend en compte la régulation de tous systèmes incluant une multitude d'agents économiques reliée par diverses opérations, c'est comme ça qu'on va trouver le revenu, la production et par conséquent on pourra analyser les causes des deux plus grands déséquilibres : le chômage et l'inflation.
La macroéconomie entretient des rapports étroits avec l'économie monétaire puisque la monnaie irrigue l'économie (...)
[...] L'agriculture occupe une place centrale dans la production de richesse. Son surproduit est nécessaire On a avec les économistes du circuit, des agrégats soit des liens entre production revenu et dépense. Boisguilbert décrit l'amplification par laquelle la baisse du revenu d'une classe conduit à une chose plus importante du revenu global (baisse de la rente foncière, de l'emploi, de la consommation , de la production, du niveau global). Ceci anticipe la notion du multiplicateur qui est la clef de la macroéconomie contemporaine. [...]
[...] Problème de l'analyse macroéconomique K. Boulding (1910-1995): Il n'y a guère d'autre science ou le danger de généraliser une expérience individuelle soit aussi grand quand économie La macroéconomie prend en compte des mécanismes qui débordent du champ d'observation de chaque agent. Exemple: L'effet des baisses de salaire sur l'emploi est positif car dans le cadre d'une entreprise si le coup du travail baisse on a une incitation pour emboucher. Au niveau économique, une baisse des salaires est: une perte de pouvoir d'achat, une chute où il y a moins de dépenses une baisse dans les débouchés des entreprises (moins de ventes, moins de production). [...]
[...] La hausse des prix à l'époque s'appelle le surhaussement de la monnaie. Les pièces circulaient hors des frontières sans problèmes et pouvaient s'échangeaient sans soucis mais selon la connaissance et la confiance que l'on avait de leurs qualités. On pouvait leur accorder plus ou moins confiance mais normalement un écus valait de façon générale une livre. Philippe Le Bel à fait quant à lui un surhaussement de la monnaie en disant qu'un livre valait un livre et demi ce qui lui valait à l'époque le titre de faux monnayeur. [...]
[...] Ils ne font que transformer une valeur celle de la matière première, en une autre valeur égale. Il évalue sous forme chiffrée les relations entre ces catégories dans un tableau. Ce tableau constitue une évolution fondamentale dans l'analyse de la répartition des richesses, car c'est un modèle d'embryon de la macroéconomie. Il fait une analyse complète entre les rapports et les classes: des flux financiers et matériels. La théorie de Quesnay a aussi des limites: l'agriculture est considérée comme le seul secteur productif au détriment du secteur industriel, et son tableau décrit une économie stationnaire, qui n'évolue absolument pas; on ne sait rien des mécanismes de croissance L'approche macroéconomique de Karl Marx: Dans le premier tome du Capital, Karl Marx présente une approche macro dynamique du capitalisme. [...]
[...] Ce ne sont pas des économistes en soit, pour certains ce sont mêmes des bullionistes. Leur objectif est d'arriver à l'enrichissement de la nation grâce aux excédents de la balance extérieure et grâce à une accumulation sous forme monétaire. Ils prônent le développement économique par l'enrichissement des nations au moyen du commerce extérieur ce qui permet de dégager un excédent de la balance commerciale. Selon les mercantilistes: Richesse et pouvoir de l'État sont mesurés par la quantité d'or qu'ils possèdent. [...]
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