Consommation, épargne, revenu, taux d'intérêt, inflation, prix, macroéconomie
Investissement : deuxième type de dépense du secteur privé.
Opération économique fondamentale, souvent mal connue.
Pas toujours facile la distinction entre I et autres concepts économiques : on entend souvent : « j'ai investi dans une nouvelle voiture », ou « j'ai décidé d'investir en bourse mes économie ».
Ici pas d'investissement mais consommation ou placements financiers.
Matériel ou immatériel, de productivité ou de capacité, formation brute de capital fixe (FBCF)= opération économique au contour difficile à cerner = besoin de poser les définitions pour en délimiter le champ.
[...] EXPORTATIONS Déterminants des exportations nettes * Déterminants des importations * IM dépendent: taux de change réel (epsilone) & demande du pays domestique, c a d Y ( revenu) national: IM=fm(epsilone, * Augmentation du Y national augmente la demande de biens étrangers importation) * mais IM dépendent aussi de la compétitivité des prix domestiques par rapport aux prix des biens étrangers. * c a d du epsilone: prix relatif des biens entre 2 pays epsilone est donc un indicateurde la compétitivité/ prix d'un pays * par exemple: si les prix des automobiles nationaux augmentent par rapport aux prix des automobiles japonaises francais achètent davantage d'automobile japonaises et moins d'automobiles francaises * IM dépendent du epsilone qui à son tour dépend: -niveau des prix au niveau national -taux de change de l'euro ( i.e. [...]
[...] ainsi: - baisse de l'inflation national -et/ou baisse de e (dépréciation euro par rapport autres devises -->entraine augmentation des prix des produits importés) * on a donc 3 composantes de la compétitivité: compétitivité/ prix, compétitivité/coût & compétitivité/ change * les trois donc étroitement liées à la notion de taux de change réel AU TOTAL: * si taux de change réel est élevé:-biens étrangers sont relativement bon marché - biens intérieurs relativement chers * si le taux de change est faible: -biens étranger chers - biens intérieurs bon marché Chapitre 2 : les équilibres macroéconomique 1. Détermination du produit & du revenu national INTRODUCTION Rôle de la théorie macroéconomique : postuler les relations entre les principales fonctions macroéconomiques afin de voir à quel niveau elles se stabiliseront pour former un équilibre macroéconomique Concept d'équilibre macroéconomique : signifie qu'un pays ne peut pas dépenses plus que ce qu'il produit. [...]
[...] taux de change nominal: prix de la monnaie d'un pays en termes des monnaies étrangères) relation entre ces variables est la suivante: taux de change réel= taux de change nominal x (prix du bien national/ prix du bien étranger) ( epsilone) e CAS pratique 10: relation entre epsilone & e : le cas des voitures automobiles supposons: coût voiture francaise= 10000 voiture japonaise= 1600000 yens comparer les prix des 2 voitures exige les convertir en une monnaie commune si 1 120 yens cout voiture francaise= 1200000 yens soit 75% du prix de la voiture japonaise pénalisation des IM de voitures japonaises au profit des voitures francaises si e monte à 180 yens par euro voiture francaise coute 1800000 yens , sup au prix japonais conclusion: hausse du e change prix relatif hausse du epsilone, en préjudice des produits nationaux et en faveur des IM. Déterminants des exportations * ex: miroir des IM du reste du monde * ex dépendent de leur compétitivité, c a d du epsilone et de la demande du pays étranger EX:fx(epsilone, * inflation & taux de change nominal: principaux facteurs qui influencent compétitivité des EX. [...]
[...] Analyse de l'équilibre macroéconomique : fondée sur l'analyse proposée par Keynes. La théorie de Keynes introduit un bouleversement (par rapport à la théorie classique) du seul fait qu'elle généralise l'utilisation de la macro-analyse Deux approches du produit intérieur brut Optique de la production On retient pour évaluer produit national - tous les biens - tous les services, vendus ou non sur le marché - Mesure plus usuelle du produit national= produit intérieur brut (PIB) - PIB : somme des valeurs ajoutées (=valeur de la production valeur des consommations intermédiaires) + impôts sur les produits subventions sur produits Le PIB mesure la production réalisée sur le territoire national, c a d par unités de production résidentes (logique de localisation) Ne pas confondre PIB avec le Revenu National Brut (RNB) RNB= production réalisée facteurs de production fournis par des résidents (i.e. [...]
[...] Au total : Il existe toujours un équilibre global car l'équilibre sur marché du travail est toujours vérifié (par flexibilité des prix & salaires) ( puis on en déduit l'ensemble des autres grandeurs Mérite théorie classique : met en relief 3 marchés importants : emploi, capitaux & monnaie Point faible : considère qu'il y a aucune interaction entre ces 3 marchés : Marché du travail détermine w/p , Y Marché du capital détermine I et i Marché monétaire détermine p Aucune interaction entre les marchés Rôle de la théorie keynésienne : mieux faire apparaître le jeu des interactions économique entre les différents marchés Equilibre keynésien Equilibre macroéconomique simplifié Supposons une économie fermée (sans relation avec l'extérieur) et sans Etat ( absence d'impôts & dépenses publiques) 2 optiques : Optique du produit : Y (production) = C+I (demande globale) Optique du revenu : Y (revenu issu de la prod) = C (part du revenu consacré à C (revenus crées)) + S ( part du revenu consacré à S (revenus dépensés) Equilibre macroéconomique avec l'Etat & extérieur Introduction de l'Etat Influence de l'Etat : se manifeste par l'existence de G & recettes publiques (impôts) Dépenses publiques G=G publique + I public s'ajoute à la C et I privés pour former DG. Le Y national d'équilibre s'écrit : Y=C+I+G Graphiquement la dépense publique globale est représentée par incluant G. [...]
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