La microéconomie vise à étudier la façon dont les agents économiques (ménages et entreprises) prennent leurs décisions ainsi que la façon dont ces deux groupes d'agents interagissent sur les marchés.
Au contraire, la macroéconomie vise d'emblée à étudier les phénomènes qui concernent l'économie dans son ensemble (l'inflation, le chômage…).
La microéconomie retient pour fondement l'individualisme méthodologique. Il s'agit d'une méthode commune à certaines sciences sociales visant à partir des comportements et décisions individuelles et à éventuellement déduire ensuite les conséquences pour l'ensemble de la société des interactions entre individus.
[...] Transitivité des préférences : Soit 3 paniers de biens Z et T. Si Q est préféré à et Z à T alors nécessairement, Q devra être préféré à T (Si T était préféré à le comportement du consommateur ne serait pas rationnel et il en résulterait une impossibilité de classement rationnel des biens). Divisibilité des biens : On suppose que les quantités de biens peuvent être appréhendées par tous les nombres réels positifs ce qui permet d'éliminer les problèmes liés aux unités de mesure des biens qui ne sont pas nécessairement homogènes (Ex : Un litre d'eau & de 100 g de cacao) ainsi que ceux liés au fait que les biens sont dans la réalité rarement infiniment divisibles (Ex : Comment rendre un téléphone portable indivisible Ici, on fait l'hypothèse que les biens sont infiniment divisibles (cela signifie que les raisonnements vont portés sur des grandeurs et des variations infinitésimales (Ca c'est le propre du raisonnement marginal). [...]
[...] C'est cette situation que l'on va étudier. Tout comme les monopoles, les entreprises en situation de duopole sont Price Maker. Si les 2 offreurs sont identiques (même produit, même fonction de production), on démontre sans difficulté que le profit global (somme des profits des 2 entreprises) est maximal lorsque la quantité globale (celle produite par les 2 offreurs) est égale à celle que déciderait de produire une entreprise en situation de monopole. LA COLLUSION Il résulte que les 2 entreprises ont intérêt à se mettre d'accord afin de se partager à égalité la production et profit que capterait une entreprise en situation de monopole. [...]
[...] 2ème cas : S'ils fixent P [...]
[...] Elle donne en effet pour chaque prix la quantité que l'entreprise peut produire. Si le prix est au coût total moyen du producteur, ce dernier réalise un profit. Ce profit stimule alors l'entrée de nouvelles firmes sur le marché. L'offre agrégée augmente ce qui fait baisser le prix. [...]
[...] Il s'agit du panier de biens qui procure au consommateur la plus grande satisfaction possible compte tenu du revenu de ce dernier. CHAPITRE 2 : LE PRODUCTEUR 1. L'Entreprise : Un agent économique rationnel Tout comme le consommateur, le producteur est un agent économique rationnel en ce sens il cherche à maximiser son profit sous contrainte (c'est l'objectif de la firme). Par définition, le profit = CA Coûts. Le profit de chaque entreprise correspond en fait au surplus du producteur. [...]
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