Macroéconomie, fonction de consommation keynésienne, marché du travail, marché de la monnaie, modèle classique, modèle marxiste, modèle keynésien
Un modèle est une représentation simplifiée de la réalité. Il existe 4 grands modèles :
- Modèle classique (Ricardo, Smith, …) : résultat simple mettant en évidence la survenance
d'un état stationnaire.
- Modèle marxiste : montrer, à l'aide de 3 grandes lois, que le mode de production capitaliste
va inéluctablement disparaître.
- Modèle keynésien : montrer qu'on peut parvenir au plein emploi.
- Modèle néoclassique (fin XIXème)
Un modèle est un ensemble d'équations qui mettent en perspective des variables. On construit un modèle avec des équations, structure logique qui met en relation des variables expliquées et
explicatives.
[...] Les entrepreneurs vont, selon le principe de la demande effective, déterminer Y1. Ce qui les amène à effectuer une offre de travail L1D qui engendrera un travail L1 rémunéré au taux de salaire w0. C'est donc le niveau de la production qui détermine le niveau de l'emploi. Les causes de sous-emploi et du chômage se trouvent sur le marché des produits et de la monnaie. w/p LD L1D L L1 LPE L 20/28 Une des difficultés vient de la définition de la mesure de L (en effectif ou en nombre d'heures travaillés? [...]
[...] i Zone 2 LM Zone 1 IS3 IS1 YEQ IS2 Y Une comparaison entre deux états s'appelle une analyse statique. En zone 1 (keynésienne), on peut jouer sur la composante autonome et augmenter le niveau d'activité Y sans influer sur le taux d'intérêt i. Tandis que dans la zone 2 (néo-classique), une faible augmentation de la composante autonome augmente considérablement le taux d'intérêt et peu le niveau d'activité. Un politique de relance keynésienne est efficace uniquement lorsque l'on se trouve dans la trappe à liquidité. [...]
[...] Il équivaut également au produit du volume des consommations C par le prix unitaire p. 17/28 Cela signifie que le loisir est valorisé au taux de salaire réel. C C2 C1 Contrainte budgétaire arbitrant entre consommation et loisir 0 v1 L1 V=z V Le consommateur rationnel va donc cherche Max sous contrainte que Il va ainsi chercher la courbe d'isoutilité la plus élevée possible. Une augmentation du taux de salaire w provoquera toujours une hausse de la consommation mais, en fonction de la forme de la courbe d'isoutilité, le temps de loisir augmentera ou diminuera. [...]
[...] Or, Brown suggère que la consommation dépend aussi de l'imitation ou des habitudes. Il y a donc plus que le revenu pour expliquer la consommation à une période donnée La théorie du revenu permanent de Milton Friedman Pour Milton Friedman, lorsque le consommateur prévoit/anticipe, il se fonde sur son revenu permanent, la somme qu'un consommateur peut dédier à sa consommation en maintenant constante la valeur de son capital. Cependant, la rationalité du consommateur l'oblige à ne pas consommer plus que ce son revenu d'aujourd'hui et son revenu de demain. [...]
[...] Si le taux de chômage diminue, la propension à consommer augmente. Solde d'opinions 3. La fonction d'investissement Elle apparait en 1963 avec les marginalistes Stanley Jevons et Carl Menger, puis sera confirmée par les néo-classiques Léon Walras, Vilfredo Pareto et Alfred Marshall. Ces derniers croient en la loi de Say qui dit que l'offre trouve sa propre demande. On distingue la fonction d'investissement keynésienne et les extension/renouvellements de la fonction d'investissement La fonction d'investissement keynésienne Efficacité marginale du capital Keynes a une approche microéconomique basée sur le concept d'efficacité marginale du capital. [...]
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