Homo oeconomicus, impact économique de la religion, capitalisme, Islam et capitalisme, éthique
Homo oeconomicus : homo sapiens sapiens sapiens. En théorie, il est totalement rationnel. Comme nous, dans nos comportements de tous les jours, on fait en fonction de nos intérêts. Quand il agit, c'est en fonction des intérêts propres et pas de ceux des groupes.
Il calcule ses efforts de façon rationnels (le moins d'efforts possibles pour en retirer le plus de profit). Il ne succombe pas aux passions. Une morale utilitaire, basée sur la recherche du bonheur matériel (argent). Il base ses rapports avec les autres de types contractuels. Il est libre et rationnel. Si cet individu a des croyances, ça ne change pas ses choix.
[...] Donc assiste à la fermeture de la plupart des grosses entreprises égyptiennes. Son ennemi : l'Angleterre, traité de commerce de libre échange qui va détruire l'industrie égyptienne. En 73 : 7000 ouvriers dans la métallurgie et dans le textile. En 1882 : Occupée par les anglais. Cette industrie est entièrement entre les mains des capitaux étrangers (anglais et accessoirement français). En 1920 : création d'une banque pour financer l'industrie nationale égyptienne : début de capitalisme égyptien. Stoppé net à partir de 1952 : renversement du roi Faro et l'arrivée au pouvoir de Nasser. [...]
[...] Les juifs sont le rappel de la passion du christ. Il faut donc montrer que la mort du Christ était un pêcher et qu'ils sont témoins de l'histoire. En ce qui concerne l'argent, les juifs et chrétiens sont opposés. Pour les chrétiens il est recommandé d'être pauvre. Mourir pauvre est le salut pour les chrétiens à l'époque. Quand les chrétiens arrivent, il y a déjà des juifs. Ils pratiquent déjà le crédit. Lorsque la gaule devient chrétienne, le prêt étant interdit aux chrétiens, ceux qui vont le pratiquer sont les juifs. [...]
[...] Le travail manuel est glorifié à condition qu'il soit mis au service de valeurs morales. Dans la mesure où se travail n'est pas contraint, il passe avant le travail d'étude. L'employé a le droit à une protection contre les caprices de son employeur comme le refus d'exclure quelqu'un, un peu comme la liberté de grève. Ça peut conduire à des injustices, d'où la nécessité de mettre en place la Tsekada : système de protection qui s'applique à tous ceux qui peuvent être en difficulté. [...]
[...] Ces différents groupes juifs restent en contact les uns avec les autres. Ils restent aussi en contact avec la Palestine. La petite majorité survie grâce à l'aide des juifs dispersés dans la diaspora. Les juifs dispersés commencent à tisser un véritable réseau international qui sera une grande utilité le jour où le commerce international va se disperser. Ils suivent les romains. Ils exercent des métiers divers comme des fonctionnaires. A l'époque ils sont instruits. Ça peut être aussi des marchands, des viticulteurs, des paysans, des prêteurs. Ils commercent de tout. [...]
[...] Ordalie : pratique qui relève de la magie (coté chrétien). Pas d'obstacle a priori dans la religion musulman au dvlpt des techniques. Donc la conclusion est que la résistance idéologique à la recherche du profit est sans doute moindre dans l'islam que l'occident, à l'époque. Les divergences entre islam et christianisme. Les chrétiens, pour eux, l'avarice est un péché (conserver des biens au-delà de ce qui est nécessaire). Dans l'islam: bon usage des biens, sur le mérite qu'on le distribue avec générosité, une attitude qui favorise l'expansion idéologique. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture