Histoire de la pensée économique, spécialisation de la connaissance, nominalisme, Guillaume d'Occam, Descartes, relativistes, absolutistes, pensées prémodernes, émergence de l'économie, Aristote, philosophes grecs
Jusqu'au 18e siècle, il y a une absence de spécialisation de la connaissance. Les philosophes de l'Antiquité et du Moyen-âge sont des intellectuels qui ne connaissent pas la division du savoir. Ainsi, Aristote (-384,-322) a abordé toutes les disciplines de la philosophie, science politique, biologie…). Il va y avoir une spécialisation de la connaissance au fil du temps. Cette spécialisation se prépare par exemple avec le nominalisme puis avec les travaux de Descartes (1596, 1650). Le nominalisme apparaît avec Guillaume d'Occam (ou d'Ockham) (1285, 1347).
Le nominalisme c'est réfléchir sur ce qui est observable et non sur les recherches abstraites sur la "nature" profonde des phénomènes. Après le nominalisme, il y a une étape importante mené par René Descartes (1596, 1650) avec son Discours sur la méthode (1637). Descartes propose de découper les phénomènes complexes en une série de phénomènes simples à analyser. Au final, on peut reconstruire l'ensemble. Mais pas encore de spécialisation des intellectuels comme quelques exemple : Blaise Pascal (1623, 1662), Gottfried Leibniz (1646, 1716) sont mathématiciens, physiciens et philosophes.
[...] Les idées de la justice et de la spécialisation apparais ; - Rendre à chacun ce qui lui est dû et ajuster l'ordre naturel (c'est à dire utilisé la différence de chacun à ses talents pour le bien de la cité). Et cet ajustement passe par l'éducation. Dans la cité il y a trois catégories : - Les gouvernants (les intellectuels) - Les guerriers - Les producteurs Platon a une vision plutôt négative de la richesse. La richesse est oisiveté et décadente surtout si on en hérite. Et encore pire si l'homme c'est enrichie par le commerce. Pour les gouvernants, les intellectuelles la vie collective est asiatique. [...]
[...] Et l'argument morale, la liberté d'agir. - La justice. Notamment la justice correctrice c'est à dire celle des tribunaux. La justice commutative comme la justice de l'échange les biens doivent être équitables. Et la troisième forme de justice c'est la justice distributive elle concerne la distribution selon le mérite de l'individu. §2 La fin de l'antiquité et le monde romain Dans cette époque il y a l'empire d'Alexandre avec l'ouverture de l'Orient et la pensée cosmopolite par l'Orient et l'ésotérisme. Le stoïcisme avec ZENON. [...]
[...] Il y a des points communs comme avec les communistes ou il y a une méfiance de la richesse et il y a une importance de l'éducation civique. Il y a quand même une différence avec les communistes. Les élites dirigeante doivent être discret sur la richesse Platon est spiritualiste. Aristote C'est un élève de Platon mais il est critique envers ces idées, il fonde le lycée. La pensée d'Aristote se porte sur des traité. Il aime les classifications c'est pourquoi c'est traité sont classés. [...]
[...] Newton (1642, 1727), physicien est considéré comme philosophe. C'est par la suite à partir de la 2ème moitié du 18ème siècle que l'on va voir une spécialisation des disciplines, André Ampère (1775, 1836) distingue sciences cosmologiques - sciences noologiques. Les sciences non expérimentales : Au 19ème siècle il y a un développement des « sciences morales », souvent en lutte avec éthique. C'est le « désenchantement du monde » de Max Weber (1864, 1920). Au 20ème siècle il y a une suite avec le développement des « sciences sociales » et « sciences humaines » Emergence de l'économie Depuis l'Antiquité les idées économiques, sont parfois approfondies dans des réflexions morales ou juridiques. [...]
[...] C'est un savoir sans application concrète. - Le savoir appliqué - Le savoir poétique/créatif Chez Aristote au niveau économique on va trouver un savoir pratique appliqué au niveau des textes, deux ouvrages ont été rédigés, La politique et L'éthique à Nicomane. Chez Aristote on a 6 thèmes économiques : - L'offre du travail c'est à dire l'esclavage. L'esclavage peut être bon pour l'homme notamment pour ceux qui ne sont pas capable de se gouverner. Et l'esclave ne se transmet pas par affiliation/descendance. [...]
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