Histoire de la pensée économique, science humaine, naissance du capitalisme, révolution industrielle, développement de l'économie classique
C'est ce que l'on tient pour vrai au sens large, l'ensemble des connaissances étude aux valeurs universelles caractériser par un objet et fondé de manière objective et vérifiable.
Connaissance exacte et universelle vérifiable exprimée par les mots
Bergson nous dit que la science mesure et calcul en vue de prévoir et d'agir, elle suppose d'abord, elle constate ensuite que l'univers et régit par des lois mathématiques.
Henri Poincaré, écritque l'expérience et la source unique de la vérité, elle seule peut nous apprendre quelque chose de nouveau, elle seule peut nous donner la certitude, voilà 2 points que nul ne peut contester.
Il faut se servir de cette observation, pour cela il faut généraliser.
[...] Les lois universelles, il est difficile de les contester. Ces lois permettent de prévoir certain phénomènes avec une grande exactitude. L'économie est incapable d'énoncée des prévisions. Boyer : Il est sans doute hors de portée des économistes de procéder a des prévisions fiables pour des raison de dépendance a la diversité des zones contemporaines et du faits des relatives statistique appelé à disparaitre. Ex donné par Christian Devoissieux : les crises financières viennent de làoù l'on ne s'attend pas. Conclusion : les droits sont en faits de lois de la sociétédétermine par des choix humains. [...]
[...] Aristote Pas Athéniens. Il a été le professeur d'Alexandre. Contrairement à Platon, il s'attache à la réalisation du bonheur sur terre, pour l'homme. L'homme vertueux est celui qui a réussi sa vie. L'homme qui est destiné au bonheur spirituel est un animal politique, c'est aussi un animal terrestre, Aristote développe des idées eugéniste. On ne saurait être heureux si l'ont est disgracieux pour la naute. Le bonheur suppose enfin de biens matériels pour satisfaire les besoin du corps. Or la production de biens neccessaire a l'existence nécessita un travail pénible est incompatible avec la vie politique. [...]
[...] Einstein disait que la science, considéré comme un ex approfondi de connaissance est impersonnel. Mais considéré comme un projet elle est subjective est tout aussi conditionné que n'importe quel autre science. Les physiciens ne travaillent pas sur la réalité mais sur des modèles. Ils s'éloignent de la réalité pour mieux la comprendre. Le découpage est le résultat de la volonté des chercheurs. Varas considérait que la physique était l'idéalà atteindre.=équilibre générale. La coupure entre science et non science n'est pas viable. [...]
[...] Ce qui est propre de la science c'est la démarche de conjecture et de réfutation. La science est ce corps de proposition relative au monde réel qui peut êtreinfirmé par des informationsàvérifier. Si on entend un rapport d'observation, une théorie est dite scientifique si elle permet de diviser en 2 sous ensemble l'énoncé de base. D'une part l'énoncé qui le contredit, et d'autre part avec laquelle s'accorde la théorie. Ces énoncé corrobore avec les cygnes sont blanc Une théorie ne peut jamais êtrevérifiée, que provisoirement juger comme acceptable et le sera tant qu'elle n'a pas été réfutée. [...]
[...] Qu'est-ce que la science ? C'est ce que l'on tient pour vrai au sens large, l'ensemble des connaissances étude aux valeurs universelles caractériser par un objet et fondé de manière objective et vérifiable. Connaissance exacte et universelle vérifiable exprimée par les mots Bergson nous dit que la science mesure et calcul en vue de prévoir et d'agir, elle suppose d'abord, elle constate ensuite que l'univers et régit par des lois mathématiques. Henri Poincaré, écritque l'expérience et la source unique de la vérité, elle seule peut nous apprendre quelque chose de nouveau, elle seule peut nous donner la certitude, voilà 2 points que nul ne peut contester. [...]
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