Flexibilité, taylorisme, fordisme, exigences du marché, entreprise
La flexibilité c'est la capacité de l'entreprise à s'adapter aux exigences du marché.
Cela concerne l'emploi, les salaires, la production, les machines
Il faut distinguer flexibilité externe et interne (voir schéma précédent)
• La polyvalence est une façon de répondre à la crise posée par le fordisme. La polyvalence donne de l'intérêt à la tâche effectuée par le travailleur, ce qui résout le problème de désintérêt des employés dans le fordisme.
• Avec la flexibilité, on remet en cause la durée du temps du travail (car le fordisme ne remet pas l'organisation du temps de travail).
. La flexibilité permet d'augmenter et de baisser les salaires alors que le fordisme ne permet que de les augmenter.
. Avec les ateliers flexibles, l'entreprise peut différencier sa production en fonction des goûts des clients.
Si la flexibilité apporte des réponses aux rigidités du fordisme (obstacles à la croissance) pour autant peut-on dire que la flexibilité est facteur de croissance ?
[...] Il y a une seconde flexibilité, qui elle est bénéfique aux employeurs. Celle- ci donne le droit aux employeurs de licencier des salariés et également de baisser les salaires. Sur ces deux sortes de flexibilité une domine largement c'est la flexibilité au profit des employeurs. Ce type de flexibilité ne permet pas forcement la croissance car elle renforce les inégalité et elle n'encourage pas les ménages à consommer puisqu'ils savent qu'ils ne sont pas à l'abri du chômage. Les ménages vont donc avoir recours à l'épargne de précaution. [...]
[...] Cette entreprise est une entreprise qui fabrique des ordinateurs et ce doc nous présente le rôle important de la flexibilité du travailleur ainsi que celui du juste à temps. Les hommes permettent une plus grande diversité des produits, ça permet donc de faire des modèles d'ordinateurs différents (par exemple). Ce que les machines ont peine à faire. Ce document nous montre que pour produire des ordinateurs Mr Dell procède à une technique qui s'appelle le juste à temps. La flexibilité peut conduire à une aversion du développement : le taylorisme demeure. Donc, pour faire face à la crise du fordisme, on utilise la flexibilité. [...]
[...] La flexibilité c'est la capacité de l'entreprise à s'adapter aux exigences du marché. Cela concerne l'emploi, les salaires, la production, les machines. Il faut distinguer flexibilité externe et interne (voir schéma précédent) La polyvalence est une façon de répondre à la crise posée par le fordisme. La polyvalence donne de l'intérêt à la tâche effectuée par le travailleur, ce qui résout le problème de désintérêt des employés dans le fordisme. Avec la flexibilité, on remet en cause la durée du temps du travail (car le fordisme ne remet pas l'organisation du temps de travail) La flexibilité permet d'augmenter et de baisser les salaires alors que le fordisme ne permet que de les augmenter . [...]
[...] La flexibilité, certes, a des avantages mais elle ralentit la croissance. Le troisième document est un texte. Hypothèse de départ mentionnée dans l'article : " Plus de flexibilité est égal à plus d'emploi " mais au prix d'une plus grand précarisation des emplois. Il va donc y avoir de plus en plus de personnes qui vont être exclus à cause des emplois précaires car ces personnes alternent entre chômage et travail de courte durée. Cette précarisation de l'emploi va être, à long terme, facteur de ralentissement économique. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture