Débat qui oppose Keynes à ces prédécesseurs. Les prédécesseurs, lui les appelle les classiques (Smith, Ricardo), les néoclassiques (Walras). Sur la question du financement de l'activité économique on peut regrouper les classiques et néoclassiques, c'est justement sur cette question qu'ils ont un point commun.
[...] Le financement des activités économiques & analyse comparée des positions de Keynes et du libéralisme économique Débat qui oppose Keynes à ces prédécesseurs. Les prédécesseurs, lui les appelle les classiques (SMITH, RICARDO), les néoclassiques (WALRAS). Sur la question du financement de l'activité économique on peut regrouper les classiques et néoclassiques, c'est justement sur cette question qu'ils ont un point commun. KEYNES, né en 1883, la Première Guerre mondiale est un événement qui marque sa vie, il a 31 ans en 1914, c'est un événement qui fait changer sa pensée. [...]
[...] Il existe 2 types de conception, pour les néoclassiques, c'est un voile = rideau, transparence, ce sont des relations d'échange ou se forment des prix réels (prix du marché, le prix réel s'est la valeur d'échange qui suppose le prix d'une marchandise en une autre marchandise). Elle est neutre : si on crée de la monnaie, cela n'a aucun impact sur les prix relatifs, et cela n'augmente pas la production, elle est neutre. (mais peut augmenter les prix). La monnaie n'est qu'un simple moyen d'échange, c'est la position néoclassique. La monnaie représente des choses qui existent, c'est comme des provisions engendrées par la fourmi. [...]
[...] La particularité de FRIEDMANN, contrairement à KEYNES, la création monétaire pourrait être le résultat d'un calcul, à priori un ordinateur peut décider ou non de la création monétaire. Ce que fonde FRIEDMANN c'est l'indépendance des banques centrales, vis-à-vis des pouvoirs politiques. C'est un fondement théorique. FRIEDMANN fait un retour sur la théorie quantitative de la monnaie qui est valable à long terme seulement, qui lie la croissance des prix à la croissance monétaire. Il remet au goût du jour une vieille théorie : BAUDIN 16ème siècle, l'époque de l'arrivée des métaux précieux. [...]
[...] C'est à dire, qu'il reste, qu'il soit plus patient et qu'il reste fixer à une entreprise déterminée. Que dire de l'activité d'évaluation des entreprises par le marché financier ? Il faut comprendre que chez KEYNES, les dépenses publiques destinées à la relance signifient que l'État fait crédit à la population, à sa capacité d'innovation et sa capacité d'entreprise. Actuellement se sont les marchés financiers qui font crédit à l'État au sens propre et au sens figuré, et c'est l'État qui doit être digne de la confiance des marchés financiers. [...]
[...] Il est donc urgent, dans les années 70 d'éliminer cette disposition d'esprit. Le volume 3 s'appelle : l'ordre politique d'un peuple libre. C'est un ordre politique qui rétablit le marché dans tous les domaines et qui fait du marché l'organe de production des règles de conduite. Cela veut dire, contre la loi fabriquée construite par la législature et les hommes. L'ordre politique d'un peuple libre consiste aux individus à les obliger à être libres, c'est à dire soumis au marché, c'est le seul système éducatif qui vaille. [...]
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