Cours d'économie très complet sur les théories libérales, néo libérales et keynésiennes, puis leur application dans l'histoire économique. Les défaillances des théories keynésiennes puis l'entrée en vigueur de celles de Friedman. La prise en compte de la politique budgétaire mais également monétaire avec l'inflation, les taux d'intérêt, la politique des banques centrales européenne, américaine et de l'Asie. Ensuite sera vue la globalisation financière avec les différents types de marchés et de produits financiers. Enfin, dans un dernier chapitre, nous aborderons la mondialisation des marchés et la globalisation des firmes, avec les différentes formes d'entreprises, le capital réputation, la coopération, l'innovation...
[...] Cette politique de dévaluation est l'antipode de la politique de la BCE depuis les 15 dernières années. Par la rigidité de l'offre ( dollar : le baisser au maximum : importations fortes qui coûtent chères mais cette dépréciation va ensuite augmenter les exportations. Greenspan et Bernanke : dollar faible / et souvent / au yen pour plus exporter. Trichet et le Japon ( sceptiques par rapport à cette politique ( stratégie de solveurs : pays faibles économiquement. Avant l'Italie dévaluait la lire. [...]
[...] Face à l'augmentation des dollars sortants des EU, les EU ne peuvent plus donner à chaque dollar un poids en or, car avant les monnaies étaient converties en dollar et le dollar en or. On passe en système de change flottant. Il n'y a plus de base fixe, le dollar fluctue donc toutes les monnaies fluctuent et ce n'est plus fixe en fonction du prix de l'or. En 1971, inflation et chômage. Pour Philips, on a une spirale inflationniste car avant les deux ne pouvaient concorder. [...]
[...] Critique de la main invisible et du laisser faire, laisser passer Stupidité de la loi de Say loi des débouchés ( l'offre va créer sa propre demande Firme doit engager quelqu'un que si elle pense que cela va lui apporter du profit donc juste si elle pense vendre et qu'il faut donc augmenter la production. La théorie keynésienne repose sur les défaillances du marché et légitime de nouveaux champs d'intervention de l'Etat. Mais elle n'a pas su relever les défis posés par la crise des années 70, la montée du chômage et la globalisation des économies. [...]
[...] Mais l'Etat continue des actions ponctuelles. Ex : mesures sur le logement : si faible revenu ( Etat paie les intérêts de l'emprunt mais obligation de faire des travaux ( rénovation d'un logement et relance du secteur du bâtiment. Les projets autoroutiers ne relancent pas forcément l'économie car on engage beaucoup trop de capitaux face à la création d'emplois. Les mesures keynésiennes doivent être inscrites dans une dynamique temps (revenus permanents) et cycle économique 2006 : nouvelle donne technologique sous problématique low cost - Période de croissance forte, moins forte que 45-73 ( par an. [...]
[...] Levier budgétaire européen nul Politique de change de dépréciation. La FED laisse filer le dollar à la baisse par rapport à l'€ depuis 2000. BCE opte pour l'anti J car dépendant des produits importés des EU et de l'étranger donc il faut un fort pour que les prix des matières qui augmentent nous atteignent à plus faible mesure (car fort face aux autres devises), alors que les EU sont moins dépendants car beaucoup de matières premières en interne ( opte pour la politique J Politique monétaire européenne Assez éloignée du modèle américain. [...]
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