Théorie de la valeur travail
Il est connu pour un de ses livres "recherche sur les causes de la richesse des nations" écrites en 1776. La question que Smith va poser est : "comment enrichir la nation ?" Et il va répondre par le travail. Le travail serait être la base à partir de laquelle on va définir la valeur (valeur travail). Il va falloir définir la valeur d'échange des biens et la valeur réciproque de chacun de ses biens (...)
[...] La croissance est tirée par l'investissement et non la consommation. Les auteurs sont Mundell et Laffer. L'idée de Laffer c'est de montrer que plus le taux de fiscalité augmente, plus la rentabilité de l'impôt diminue. Plus le niveau de fiscalité monte, plus on aura une évasion fiscale et un ralentissement de l'activité. Sous section II) Les hétérodoxes Les nouvelles théories de la croissance - La théorie de la croissance endogène C'est-à-dire une croissance initiée de l'intérieur sans apport extérieur. C'est la croissance généré par les propres ressources de l'industrie. [...]
[...] Cette théorie a été illustrée par le fameux dilemme du prisonnier. Les mots clés : * physiocrates, * mercantilistes, * la main invisible, * la valeur d'usage, * la valeur travail, * la théorie des avantages comparatifs, * la théorie des avantages absolus, * la définition de la plus value par Marx, * profit pour Marx, * le taux d'intérêt, * état régalien, * la rente ricardienne, * la concurrence pure et parfaite, * société coopérative, * la fonction de précaution, * la fonction de spéculation, * la fonction de transaction, * la thésaurisation, * l'utilité marginale, * libre échange, * protectionnisme, * paupérisation, * asymétrie d'information, * libéralisme, * notion d'imperfection des marchés, * notion de préférence pour la liquidité, * notion de capital humain. [...]
[...] On va enrichir la nation par le biais de l'agriculture car pour eux c'est le seul moyen de créer plus de richesse qu'on consomme. Toutes les politiques menées vont avoir pour objectif de favoriser l'agriculture avec la mise en place de réformes fiscales et on va surtout valoriser le libre-échange Caron part du principe que plus on laisse passer des richesses plus on a de possibilité de s'enrichir (nécessaires les hommes, laissez-passer et les marchandises). Pour les physiocrates la nation c'est le peuple, donc ici on disputera enrichir les hommes plutôt que le pouvoir. [...]
[...] Il va montrer avec le temps que l'on a fait l'aliénation de travailleurs qui caractérisent l'évolution des sociétés à travers les différentes classes sociales que l'on va rencontrer. Pour lui chaque face de l'histoire est caractérisée par les modes de production, les rapports contradictoires et la révolution sociale. Il va mettre en évidence la notion d'infrastructures et la superstructure. L'infrastructure c'est les caractéristiques de l'environnement économique dans lesquels on se situe. La superstructure c'est la manifestation de la conscience, c'est donc la prise de conscience que l'on a d'une situation. [...]
[...] Au début on aura une production qui va distribuer des revenus (à ceux qui travaillent) qui va entraîner une forme de consommation ou d'épargne. Cela veut donc dire qu'un produit s'échange contre un produit. -l'orée de la valeur utilité La monnaie ne sert qu'à favoriser les échanges. Jean-Baptiste Say n'a pas la même théorie de la valeur. Pour lui la valeur c'est la valeur utilité, son caractère utile ou pas. C'est le seul qui considère que la valeur c'est la valeur utilité. [...]
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