Economie de la firme et des connaissances

Thèmes abordés

Economie de la firme, économie des réseaux, réseaux sociaux numériques, TIC, RSM, firmes de réseaux

Résumé du document

Asymétrie d'information : information n'est pas toujours partagée c'est pour cela qu'on n'arrive pas à l'optimum. Référence des économistes : concurrence pure et parfaite. Dans ce cas, il n'y aurait pas de crise, tout le monde aurait les mêmes informations.
Théorie des coûts de transaction : ce qui est spécifique je le garde dans l'entreprise. Tout ce qui est générique, je l'achète sur le marché. Met l'accent sur deux points :
-Le marché est couteux
-Problème d'externalisation et d'internalisation
Théorie évolutionniste : met l'accent sur le problème des connaissances, d'apprentissage et des routines dans la firme.

Extraits

[...] Consultation des bases ouvertes Possible de rechercher des utilisateurs en fonction des critères que l'on souhaite. Les recherches de base sont gratuites. Les consultations avancées sont payante. Visualisation des chaines de production On peut voir avec qui nos contacts directs sont en contact et ainsi de suite. On peut voir qui travail dans quelle entreprise. Modèle économique : Il est fondé sur la différenciation verticale. On paie en fonction de l'usage que l'on fait sur la plateforme. De plus, il n'y a pas de # entre les utilisateurs. On ne connait pas leur motivation. [...]

[...] Internet va plutôt éloigner le marché du travail vers un marché de CPP. Grâce au moteur de recherche, on va affiner nos recherches. Alors que dans une CPP il y a une homogénéité des produits. Réseaux sociaux et recherche d'emploi On distingue deux méthodes de recherche d'emploi : Méthode formelle : annonces, candidatures spontanées Méthode informelle : tous les moyens qui mobilisent les réseaux de relation. On trouve ici les travaux de Granovetter sur la force des liens faibles. On distingue ces deux méthodes mais sont géné utilisées successivement ou simultanément. [...]

[...] Aujourd'hui, on utilise les systèmes d'informations et des plateaux de conceptions virtuels communs. Intégration logistique Les données doivent être compatibles et échangées entre les sous-traitants, fournisseurs et firme pivot. Qualité Qualité service / produit et la qualité sur le processus de réalisation Incitation Les différentes entreprises travaillent ensemble dans un même lieu, mais ne sont pas juridiquement indépendant. Les salariés n'ont pas les mêmes contrats, rémunérations. Problème : le sous-traitant va quitter l'entreprise pour travailler dans la firme pivot. Les entreprises se coordonnent très bien mais ne sont pas capables de s'harmoniser dans les pratiques des ressources humaines. [...]

[...] Il y a de la sous-traitance et un cercle de qualité : groupe de discussion où on réunit tout le personnel pour améliorer la production. Ici, on va avoir une décentralisation des décisions. Au Japon, tout part du consommateur : communication ne sont pas descendantes. Mobilité des savoir-faire et des compétences Pour que cette mobilité se réalise : mise en œuvre de pratique et langage commun. Cette mobilité est caractérisée par les entreprises innovantes. Japon : favorise les interactions entre les services amont. [...]

[...] Ce système de management mécaniste est caractérisé par : Des communications verticales et des décisions centralisées Si on veut réduire les coûts d'organisation, on va passer à une organisation hiérarchique. Problème : personne qui doit prendre des décisions peut être débordées. Mais, dans un environnement stable c'est peu risqué. Dc, il n'y a pas de nouvelle stratégie à mettre en place. Spécialisation des tâches (Smith) 1976 : si on veut diminuer les coûts de fabrication, il faut diviser le travail. Une opération complexe va être divisée en plusieurs opérations simples. Propre de la fabrication en usine. [...]