Cours d'économie, différents courants de pensée, loi de Say, macrroéconomie, courant marxiste, capitalisme, courant néoclassique, libéralisme, Keynes, investissement, demande effective
On distingue trois grands courants de pensée : les keynésiens, les libéraux et les marxistes. Le courant libéral est un courant de pensée issu du siècle des Lumières. Ici les libertés économiques sont nécessaires au bon fonctionnement de l'économie et de la société. L'intervention de l'État doit être limitée au minimum. L'homo-economicus est le principe de l'individu maximisateur. Il dégage toutes les conséquences de l'application stricte du principe de rationalité. Il décide en fonction de l'information et des croyances sur le comportement des autres agents économiques.
[...] III) Le courant Keynésien ( JM Keynes ( La théorie générale entre deux guerres (période de crise et chômage) ≠La loi de Say (loi des débouchés) Keynes s'oppose à la loi de Say, cette loi supposait implicitement que le système économique fonctionne à pleine capacité. Keynes déclenche également le rôle supposé stabilisateur des marchés. En effet les théories classiques sont incapables de donner de réponses au problème de chômage (involontaire) et du cycle économique (crise de surproduction). Selon Keynes une solution serai l'intervention de l'Etat au travers de politiques économiques. Macroéconomie La théorie Keynésienne est une représentation de l'économie dans son ensemble. C'est une approche macroéconomique. [...]
[...] La théorie quantitative de la monnaie La monnaie est un voile, elle sert uniquement à faciliter les échanges économiques. La monnaie est une marchandise comme les autres. Sa seule fonction est de servir d'intermédiaire d'échanges. Mv=pY M=Masse monétaire v=vitesse de circulation de la monnaie (constante) NPG (niveau général des prix) Σ (somme) des transactions économiques Considérer que la monnaie est un voile revient à dire que toute variation de M correspond à la variation de Y. Monnaie neutre ( p est constant. Si M ( indépendamment de Y (plus que alors p augmente aussi. [...]
[...] La demande effective Le volume réel de la production et de l'emploi dépend des décisions courantes de produire. Cette décision dépend elle-même des décisions d'investir et de l'estimation actuelle des montants de la consommation courante et future. Autrement dit c'est la demande effective qui conduit à la production. Le rôle de l'investissement La monnaie, c'est finalement la variation la + importante de toute car elle dépend des autorités monétaires Le niveau général des prix et les prix individuels ils sont déterminés de manière identique. [...]
[...] Principe de rationalité : pour les individus maximisateurs est de satisfaire leurs besoins (ou minimiser ses couts ou ses peines) cela implique également que les individus sont capables de classer leurs choix par ordre de préférence. Affirmation de la liberté économique L'homo-economicus justifie la liberté économique. La liberté des individus et la propriété privée sont les 2 piliers de cette pensée. Le marché est régulateur de l'activité. Les individus poursuivent leur intérêt personnel et par la main invisible (le marché) ils contribuent à l'intérêt général. Le rôle de l'Etat doit être minimal. [...]
[...] Si je n'ai que 2 marchés il suffit d'un marché équilibré pour que le 2e le soit aussi. L'équilibre général implique la présence d'un commissaire-priseur : ( Propose les prix ( Recueille et confond les offres et demandes ( Il cherche par tâtonnement un prix d'équilibre ( Il organise les échanges avec le prix La présence du commissaire-priseur permet d'éviter la question du marchandage dont l'issue est incertaine. Une approche normative Une approche positive=approche qui décrit ce qui est. L'approche normative décrit les choses comme elles devraient être. [...]
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