La croissance se distingue du trend qui concerne toute tendance d'une variable économique de long terme. La croissance diffère de l'expansion qui représente la croissance de la richesse à court ou moyen terme. La croissance se distingue du développement qui fait état des transformations
structurelles qui entrainent le passage d'un système économique et social à l'autre.
Croissance économique et progrès économique ne doivent pas non plus être assimilés. Le progrès économique suggère l'idée d'un partage des fruits ou des résultats de la richesse créée et donc un recul des inégalités.
Lorsque le taux de croissance diminue tout en restant positif, on parle de croissance ralentie ou de récession. Le taux de croissance peut être extensif, s'il provient de l'augmentation des facteurs de production utilisés. Lorsque la croissance est intensive, elle résulte des gains de productivité de ses facteurs de production.
Lorsque la croissance est intensive, elle résulte des gains de productivité de ses facteurs de production. La croissance est équilibrée si elle permet de respecter les grands équilibres du carré magique :
- Le plein emploi
- La stabilité des prix
- La croissance
- L'équilibre du budget de l'Etat
Quel indicateur retenir pour mesurer la croissance d'un pays ?
Le PIB mesure la richesse des unités résidentes sur le territoire. Le PNB mesure la richesse créée, y compris par les entreprises nationales situées à l'étranger. Il faut distinguer le PIB en valeur courante du PIB en valeur constante. La croissance du PIB d'une année sur l'autre provient d'un effet quantité mais aussi d'un effet prix. Pour mesurer la croissance réelle, il faut calculer le PIB à prix constant en éliminant l'effet de l'augmentation des prix. Dans ce cas, on a une croissance en volume, une croissance réelle. Lorsque le PIB n'est pas déflaté, on a une croissance nominale en valeur courante ou en euro courant.
[...] La croissance diffère de l'expansion qui représente la croissance de la richesse à court ou moyen terme. La croissance se distingue du développement qui fait état des transformations structurelles qui entrainent le passage d'un système économique et social à l'autre. Croissance économique et progrès économique ne doivent pas non plus être assimilés. Le progrès économique suggère l'idée d'un partage des fruits ou des résultats de la richesse créée et donc un recul des inégalités. Lorsque le taux de croissance diminue tout en restant positif, on parle de croissance ralentie ou de récession. [...]
[...] Cette conception du développement durable revient à considérer que les êtres humains seront capables d'innover pour pallier le manque de certaines ressources naturelles. C'est une confiance absolue au progrès technique et aux capacités à innover. C'est la conception de la soutenabilité faible qui a pour objectif d'assurer le maintien d'un certain niveau de stock de capital agrégé : capital naturel + capital artificiel. - Dans la 2ème définition, on considère que la nature est le cadre extra économique de la vie des hommes (Pearses et Torner 1990). [...]
[...] Au contraire durant la décennie 90, le taux d'épargne augmente fortement passant de 10% à 18% en 1995. Cette évolution se superpose à un recul de l'investissement. En 1995, l'investissement des entreprises françaises représente 16% du PIB. Dans cette période les entreprises dégagent des taux d'autofinancement qui dépassent les 100% à partir de La croissance équilibrée du plein emploi ? On distingue deux grands courants dans les modèles de croissance : d'un coté le modèle de croissance d'Harold et Domard, qualifié de poste keynésien, de l'autre le modèle de Solow, de type néoclassique. [...]
[...] - Le salaire naturel fournit aux ouvriers les moyens de subsister et de perpétuer leur espèce. - Le salaire courant est celui que reçoit effectivement le travailleur en fonction de l'offre et de la demande sur le marché du travail. Le travail est cher quand les bras sont rares et bon marché lorsqu'il abonde. La rente distribuée au propriétaire foncier est la différence entre le prix de marché du bien alimentaire callé sur le cout de production de la terre la moins fertile et le cout de production sur la terre considérée. [...]
[...] R.Barro va prendre plusieurs données. Dans la pire des dictatures, une augmentation des droits politiques se traduit le plus souvent par une amélioration des droits économiques, ce qui tend à augmenter la croissance et l'investissement. Dans les pays qui ont déjà atteint la démocratie, une nouvelle augmentation des droits politiques affaiblit la croissance en raison de la prédominance de préoccupation pour la redistribution des revenus CHAPITRE 2 : Croissance et développement durable ILe Club de Rome : Les limites à la croissance de MEADOWS (1972) : il va mettre en place le modèle du monde et faire des prévisions sur 130 ans (de 1970 à 2100). [...]
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