Crise économique, taux de croissance, production, chômage, dépression économique, crise de subsistance, PIB Produit Intérieur Brut, crise industrielle, chocs pétroliers, protectionnisme commercial, Schumpeter, auteurs néoclassiques, régulation concurrentielle
Dans le cycle économique, une crise économique est une période de ralentissement de l'activité économique après une période d'expansion. La crise économique se caractérise par une forte baisse générale des taux de production et de croissance et par une augmentation du chômage. Les économistes divisent le cycle de production en quatre étapes consécutives. Le premier correspond à la phase de croissance ou d'expansion, accompagnée d'une augmentation de la production. Le second correspond à la phase de crise appropriée, qui se caractérise par une baisse brutale du taux de croissance de la production. La troisième étape est la dépression, qui se caractérise par une diminution de la production. Enfin, la quatrième étape peut être analysée comme une étape de récupération.
[...] Les économistes divisent le cycle de production en quatre étapes consécutives. Le premier correspond à la phase de croissance ou d'expansion, accompagnée d'une augmentation de la production. Le second correspond à la phase de crise appropriée, qui se caractérise par une baisse brutale du taux de croissance de la production. La troisième étape est la dépression, qui se caractérise par une diminution de la production. Enfin, la quatrième étape peut être analysée comme une étape de récupération. À proprement parler, la crise économique est le moment exact où la situation économique s'inverse soudainement, annonçant la fin d'une période d'expansion. [...]
[...] Le déclenchement d'une crise nécessite une croissance assez lente et une réduction du taux de croissance du produit intérieur brut (PIB). Cette situation s'appelle une récession (les experts économiques ont un sens plus précis. Ce terme désigne l'économie pendant deux trimestres consécutifs. Toute période de croissance négative au- dessus). En ce qui concerne la stagflation, elle se caractérise par la coexistence d'une stagnation de la production et la coexistence d'une augmentation du chômage et d'une augmentation cumulative des prix. Ce phénomène a été observé dans les années 70. I. [...]
[...] Les crises industrielles résultent généralement de la tourmente boursière puis de la tourmente bancaire. Les crises industrielles résultent généralement de la tourmente boursière puis de la tourmente bancaire. Ensuite, l'industrie et le commerce ont été touchés, la production a été affectée et les prix des produits ont augmenté avec la chute des salaires et l'augmentation du chômage. III. Les deux chocs pétroliers L'Organisation des pays producteurs de pétrole (OPEP) a décidé de quadrupler le prix du pétrole, provoquant de nombreux déséquilibres dans les pays occidentaux, notamment l'augmentation de l'inflation et la détérioration du déficit commercial qui en résulte. [...]
[...] La régulation concurrentielle correspond à un capitalisme sévère : le marché domine, les salaires n'augmentent que modérément et la concurrence entre les entreprises est particulièrement féroce. Les formes de crise comprennent la baisse des salaires (due à la flexibilité totale du marché du travail) et la baisse de la production (la faillite survient immédiatement, car le chiffre d'affaires diminue avec le revenu). Le contrôle des monopoles est le travail des grandes institutions sociales (oligarques, État, sécurité sociale, syndicats), pas seulement le travail du marché. Les salaires sont liés à une productivité accrue et sont déterminés par la négociation collective. [...]
[...] Ils s'opposent aux politiques keynésiennes visant à stimuler les dépenses publiques, à soutenir les politiques dans les industries difficiles et à recommander des politiques propices au rétablissement de la concurrence, à la flexibilité des salaires et au contrôle de la croissance de la masse monétaire. Aujourd'hui, l'opposition entre ces courants de pensée n'est pas aussi claire qu'elle l'était en 1960-1970. La recherche macroéconomique tente de concilier l'apport du keynésianisme (dans certains cas l'observation de l'état impuissant du marché, la nécessité d'une intervention de l'État pour résoudre la situation, le manque de neutralité monétaire) et l'apport du néoclassicisme. (Le mécanisme du marché doit être maximisé). [...]
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