Théories économiques, questions internationales, création de monnaie, croissance, emploi, budget de l'état
Dans un monde aujourd'hui globalisé, il est important de comprendre ce qui motive les firmes pour s'internationaliser, ce qui aboutit à la DIT (division internationale du travail). Aujourd'hui la contrainte de compétitivité est telle qu'il est impératif de renouveler sans cesse la gamme de produits offerts, de fabriquer aux moindres couts, de fournir à la clientèle un service après vente de qualité. Tout cela incite l'entreprise à s'internationaliser, à franchir les frontières, à aller sur place. Quelles sont alors les motivations de la multinationalisation des firmes (surtout deux déterminants : propres aux firmes, propres au marché d'accueil). Delapiere et Minelli : « On ne peut plus identifier une cause unique pour expliquer les opérations d'implantation à l'étranger, désormais c une combinaison de facteurs à la pondération variable qui prédomine »
[...] uniquement quantitatif Mais le PIB demeure l'indicateur le plus fiable. II. Les sources de la croissance intensive Croissance intensive = accroissement de la production + que proportionnelle à l'accroissement des facteurs de production utilisée. A. Les modèles de croissance de l'après guerre P = F , La production est fonction du travail et du capital. Cette équation au niveau d'une entreprise signifie que la production d'une entreprise est obtenue en combinant du travail et du capital dans une proportion donnée compte tenue de l'état de la technologie. [...]
[...] Par ex, si les autorités monétaires cherchent a faire baisser les taux d'intérêt, alors banque centrale va mettre plus de monnaie sur le marché. Si l'objectif est d'augmenter les taux d'intérêt, la banque centrale va retirer en achetant de la monnaie et la garder dans ses coffres forts. Partie 3 : Croissance, emploi et budget de l'état Chapitre 1 : La croissance La croissance est au cœur de tous les débats. Comment la mesure t on? Quelles sont ses sources? Les cycles éco qui en découlent? I. [...]
[...] Renseigné par des enquêtes continues sur l'emploi. Durant années taux de chômage était environ de période de plein emploi, voire de suremploi (période ou les gens taff plus que la durée normale de travail) période des 30 glorieuses : insuffisance de main d'œuvre malgré afflux de main d'œuvre agricole ds les villes, part de l'emploi agricole passe de 20% ds années 60 à un peu plus de 10% dans les années 70 ; malgré l'arrivée des baby-boomers sur le marché du travail ; donc nécessite de faire appel a main d'œuvre étrangère. [...]
[...] Il fait intervenir les phénomènes monétaires comme facteurs explicatifs des cycles économiques. Plusieurs cycles : phase A entre 1788-1815 et B 1815-1850 ; A : 1850-1873 et B : 1873-1893 ; A : 1893-1913 et B : 1920-1945. C. Description du déroulement des cycles longs : D'après Schumpeter, les phases ascendantes du cycle Kondratieff s'expliqueraient par la diffusion des innovations dans la société, par des Grappes d'innovation , ce fut le cas des 1eres révolutions industrielles : Théorie de l'évolution économique : Schumpeter montre que l'innovation est le moteur du cycle long et c'est l'irrégularité du progrès technique qui serait à l'origine des irrégularités de la croissance économique. [...]
[...] C'est le tâtonnement walrasien. D'après les libéraux seuls restent des chômeurs volontaires encouragés par l'action de l'Etat providence. L'autorégulation du marché grâce à la loi de l'Offre et de la Demande fait de la variation des salaires réels le moyen de réguler ce marché. L'excédent de l'offre de travail par rapport à la demande doit réduire les salaires réels et provoquer un retour a l'équilibre. Les libéraux pensent que les entreprises embauchent tant que le salaire est inferieur a la productivité marginale du travail signifie que le coût de chaque nouveau salarié n'est pas supérieur a la valeur de l'accroissement de la production qu'il a pu produire. [...]
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