Cours de première année d'économie et gestion sur l'histoire de la pensée économique : les différents courants de pensée modernes (Keynes, Marx, Classiques...). La pensée économique a commencée dans l'Antiquité grecque même si on date la pensée économique moderne avec Adam Smith en 1776. Avant Smith, il y a eu une pensée économique qui n'était pas le fait de spécialistes : philosophes, banquiers...
[...] L'analyse marxiste -Karl Marx (1818-1883) Le capital 1 (1867) Le capital 2 (1885) Le capital 3 (1894) L'analyse keynésienne -John Maynard Keynes (1883-1946) Les conséquences de la paix (1919) Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie (1936) Le débat sur la théorie de la valeur 2.1 ) Le point de vue des classiques : la théorie de la valeur-travail. Le prix de marché des biens fluctue sous l'effet de variations conjoncturelles. Mais il y a une tendance de long terme. Smith conteste que le prix naturel soit lié au prix d'usage. Pour les classiques, ce qui fait la valeur d'un bien c'est l'effort nécessaire à sa production cad, la quantité de travail que représente ce bien, évalué selon les économistes classiques d'une façon différente. [...]
[...] -formes seconde : pour l'Angleterre : mercantilisme commercialiste. Aider l'exportation et limiter les importations= limite les sorties de monnaie. -troisième forme : pour la France : mercantilisme industrialiste (Angleterre + début d'essor préindustriel) Ce courant a été très critiqué par un certain nombre de penseurs. Après le règne de Louis XIV, apparaît un nouveau courant en France, qui s'oppose à la vision mercantiliste sur l'agriculture. Physiocrates : Ils s'opposent à cette vision. Selon eux, c'est ce que produit la nature qui permet l'enrichissement. [...]
[...] Exemple : -Adam Smith Recherche sur la nature et la cause de la richesse des nations (1776) -Thomas Robert Malthus Essai sur le principe des populations (1798) -Davis Ricardo Principe d'économie politique et de l'impôt (1817) Say Traité d'économie politique (1803) -John Stuart Mill Principe d'économie politique (1848) Thèmes : Etude de la croissance : vision pessimiste. La croissance de long terme est condamnée à s'éteindre. Il n'y a pas de possibilités pour que l'économie croisse de façon indéfinie. La croissance est conditionnée par l'agriculteur. La rente est la différence entre le coût de production sur la dernière terre mise en culture et le coût de production des autres. [...]
[...] Quand une entreprise produit, elle distribue un revenu qu'elle obtient aussi = acheter d'autres produits (si pas de production, pas d'achat). L'offre crée ses propres débouchés donc il n'y a pas de justification à d'autres politiques économiques que celles qui consistent à favoriser l'offre. -l'équilibre partiel et l'équilibre général 3.2 ) L'approche keynésienne -théorie de la demande effective -la revalorisation du rôle de l'Etat Keynes conteste tout. Pour lui, sans débouchés, il n'y a pas de production. C'est la demande qui crée les débouchés = demande effective. [...]
[...] Ce qui compte n'est pas la valeur unitaire d'un bien, c'est la valeur de la dernière unité qu'il acquière = unité marginale. L'utilité marginale est fonction de la quantité qu'on possède d'un bien notion de rareté). Le débat sur le rôle de l'Etat 3.1 ) Les approches classiques et néo-classiques : l'apologie du marché 2 préceptes : - la main invisible : Adam Smith, c'est la recherche de l'intérêt personnel par tous les agents qui assure le fait que tout le monde science économique retrouve dans une situation globale qui est la meilleure possible laisser fonctionner le marché. [...]
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