Exemple du chômage :
Tout le monde n'est pas d'accord quand à la manière de traiter ce problème, ni sur les causes de ce phénomène.
Pour certains, le chômage est le fait d'une trop grande intervention de l'Etat dans l'économie, qui se traduit par le fait que les entreprises sont trop soumises à l'impôt, et supportent trop de charges sociales. La liberté de décision des entreprises est entravée par un droit du travail et une législation sociale qui sont à la fois rigoureux, contraignants, et complexes. On considère donc qu'il faut alléger les charges et les entraves imposées par l'Etat. Ce faisant, les entreprises vont voir leurs profits augmenter, elles vont pouvoir produire davantage, et vont donc embaucher, ce qui fait disparaître le chômage (...)
[...] Un problème se pose : s'il n'y a pas d'atomicité, l'offreur peut imposer ses prix. WEITMAN : Les grandes entreprises, par leur capacité à contrôler les prix, sont en large partie responsables du chômage contemporain Sur le marché du travail, la rigidité des salaires résulte de deux choses : - Une volonté des entreprises de proposer des salaires d'efficience (salaires relativement élevés, qui sont censés attirer les meilleurs salariés et stimuler la productivité du travail). STIGLITZ et SHAPIRO (1984). - Des contrats implicites (contrats rigides dont la rigidité commence au début du contrat et se termine à la fin du contrat pas de possibilité d'évolution). [...]
[...] Pour Friedman, l'inflation est un phénomène exclusivement monétaire, et toute augmentation de la masse monétaire provoque une augmentation proportionnelle des prix. La monnaie est très active à court terme sur les variables réelles. Le salaire réel est le pouvoir d'achat. C'est un salaire qui tient compte du niveau général des prix (salaire réel = salaire nominal / niveau général des prix). Si on augmente la masse monétaire, à court terme, cela peut provoquer un mouvement d'expansion. A l'inverse, si on contracte cette masse monétaire, ça peut provoquer une crise. [...]
[...] La seconde forme du mercantilisme est le mercantilisme français. Celui- ci est plus tourné vers la recherche de l'industrialisation. La richesse trouve sa source dans le travail des individus, et donc l'Etat va devoir utiliser la population de manière efficace. Jean Bodin : Il n'est richesse que dans l'homme L'augmentation de la population permet d'avoir des débouchés importants sur le commerce. De la même manière, si une population est nombreuse, la ressource productive est importante, et on peut donc maintenir les salaires à un niveau faible. [...]
[...] Elles permettent d'obtenir de l'acier (puddlage). - L'énergie : mise au point de la machine à vapeur (Denis Papin). Ces innovations se combinent les unes aux autres et s'additionnent. On met simultanément au point de nouvelles machines, la possibilité de fabriquer ces nouvelles machines et la possibilité de faire fonctionner ces machines grâce à la machine à vapeur. On assiste à une généralisation de l'emploi des machines, qui se trouvent concentrées sur un même lieu : des usines, qui atteignent une taille jusque là inconnue. [...]
[...] On considère que le commerce international est un jeu à somme nul, c'est-à-dire qu'un pays ne peut s'enrichir qu'au détriment d'un autre. Le père de la théorie des jeux est John Nashe. Si on considère que les autres états sont des ennemis, on évite les importations de produits transformés, dont l'importation bénéficie à l'économie étrangère. On essaie le plus possible d'exporter des produits finis, créateurs de forte valeur ajoutée. Auteurs mercantilistes : Jean Bodin, Antoine De Montchrestien (1576 1621) : La main publique doit aider la main particulière William Petty (1623 1687). Section 2 : Le libéralisme I. [...]
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