Pensée économique contemporaine, économie néo-classique, révolution keynésienne, analyse de Karl Marx, équilibre général, équilibre partiel
La théorie néo-classique est encore la théorie la plus dominante de nos jours. Le fondement de cette théorie est la révolution marginaliste.
Les trois auteurs JEVONS/WALRAS/MENGER vont chacun découvrir le principe de l'utilité marginale (= elle mesure l'accroissement de l'utilité totale ressentie par la consommation d'un bien lorsque l'individu en consomme une unité supplémentaire).
La pensée néo-classique est qualifiée de courant marginaliste.
[...] Dans les années Friedman parle pour la première fois du sophisme de composition. II-2. Le rôle de la demande dans la détermination du niveau d'emploi L'économie de Keynes est une économie de la demande par opposition à l'économie de l'offre des classiques et des néo-classiques. Keynes est donc un contradicteur de la loi de Say. Il explique qu'il n y a aucune raison pour que l'ensemble des revenus distribués soit dépensé pour acheter la production. Le revenu est distribué sous forme monétaire , la monnaie est une réserve de valeur , elle peut donc être conservée et non dépensée. [...]
[...] III L'analyse de Karl Marx (1818 -1883) Le point de départ de Marx est la critique du mode de production capitaliste. Il décrit une société à forte croissance démographique où la révolution industrielle s'impose en Europe ( croissance économique) avec une répartition très inégale. Il remarque que le facteur travail est désavantagée relativement au facteur capital. Il nous dit qu'il ya trois évolution dans la société : -La société de troc -La société monétaire -La société capitaliste Dans l'économie capitaliste , l'individu qui possède de l'argent en fait l'avance pour acquérir une marchandises qui permet ensuite d'obtenir de l'argent. [...]
[...] Pour cela , il faut : -La propriété privé -La liberté 2)Le rôle de l'État doit s'arrêter aux fonction régaliennes (police,armée,justice). L'économie est coupée en deux. C'est le principe de dichotomie : Il existe deux sphères , une réelle , une monétaire. Différences : 1)La révolution marginaliste trouve un nouveau fondement à la valeur des biens. C'est l'utilité marginale qui fonde la valeur économique des biens. Ce n'est plus la valeur «travail» mais la valeur «utilité» qui en est à l'origine. [...]
[...] La dépense de l'État constitue une composante de la dépense globale : l'économie de la demande . C'est l'évolution de la demande globale qui détermine l'évolution de la production qui détermine la demande d'emploi. Keynes s'intéresse en priorité aux causes du chômage des années 30 et cherche les moyens de réduire se chômage. Keynes crée 3 rupture théorique par rapport aux classiques et aux néo- classiques : -L'économie doit être pensée au niveau globale , c'est à dire macro- économique. [...]
[...] 1 L'analyse de l'équilibre général de L. Valras Il publie un ouvrage : Éléments d'économie pure (1974). Il s'intéresse à la détermination d'un équilibre générale qui résulte de l'équilibre simultané sur tous les marchés. Cette étude se situe dans un univers particulièrement différent . Ses deux hypothèse sont : - L'absence de thésaurisation -La loi de Say est validée Pour Valras , les échanges n'ont lieu qu'à l'équilibre sur chaque marché , quand l'offre est égale à la demande. Il invente un processus de tâtonnement qu'il fait reposer sur le commissaire priseur. [...]
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