Ce document présente sous forme de tableau récapitulatif les principales notions de l'analyse économique.
Extrait : "La fonction de production
Dans une économie à deux biens, on peut produire un certain nombre de biens X et un certain nombre de biens y pour une même capacité de production (travail et capital) donnée.
Les points A et B sont dominants. Le point C est dominé (on pourrait produire plus de bien A et de bien B). La frontière des possibilités de production se compose de tous les points dominants. Tous les points au-delà de la courbe sont impossibles à produire.
La courbe des possibilités de production permet de définir ce qui est économiquement optimal au sens de Pareto (on ne peut pas produire plus d'un bien sans produire moins d'un autre), mais n'a aucune valeur normative.
L'optimum de Pareto :
Une situation est optimale au sens de Pareto quand on ne peut améliorer le bien-être d'un agent sans détériorer le bien-être d'un autre agent. "
[...] Les études ne fournissent pas un capital de connaissances ou de formation mais plutôt une résistance à l'épreuve. On rejoint alors des études plus sociologiques. Main-d'œuvre qualifiée et non qualifiée ne sont que des inventions du marché : la main d'œuvre est en réalité multiple : on a un niveau de formation continu et non deux catégories discontinues. A 1.21 > L'analyse de Becker et Lancaster Elle repose sur les choix des ménages : pour satisfaire ses besoins, un ménage pourra produire lui-même les biens ou aller les chercher sur le marché via les services. [...]
[...] Le but des entreprises va être de retourner le choix en leur faveur. A 1.22 > La courbe de travail renversée Gagner plus ne veut pas forcément dire travailler plus. La courbe qui représente le niveau de salaires par rapport au niveau de travail a une sérieuse tendance à prendre la forme ci-contre. De L1 à L2 l'individu travaille plus pour gagner plus. Mais à partir de L2 jusqu'à L3, le niveau de salaire est tel qu'il peut se contenter de gagner tout autant en travaillant moins. [...]
[...] Elle figure l'ensemble des possibilités de production par la combinaison de travail et de capital. On note également deux déplacements principaux : la découverte d'une nouvelle technologie qui permet de repousser vers la droite l'isocoût. la baisse du prix du travail (salaires) ou du capital (taux d'intérêt) qui entraîne le pivotement de la droite d'isocoût. A 1.18 > L'équilibre du consommateur Il se forme lorsque la droite de budget est tangente à la courbe d'indifférence. Sur le graphique ci-contre le point A est un optimal au sens de Pareto : en effet tous les points de la zone bleue fournissent plus de satisfaction et sont rendus possibles par la droite de budget. [...]
[...] A 1.33 > L'équilibre de concurrence en courte période Dans le cas ci-contre, avec un prix on va produire jusqu'à ce que le Cm soit égal au prix. On fait alors un maximum de bénéfices. Au-delà on vend à perte (Cm supérieur au prix). Le CM étant presque au plus bas, la production revient peu cher. A 1.34 > L'équilibre de concurrence en longue période Il se déduit de l'équilibre en courte période comme le montre le graphique ci-contre. Les profits ayant tendance à disparaître, le prix va diminuer jusqu'à arriver au point d'égalité entre le CMLP et le CmLP. [...]
[...] A 1.27 > Rendements d'échelle et rendements de substitution on appelle rendement d'échelle le fait que l'on économise des coûts en faisant la même chose à plus grande échelle pour exploiter au maximum le coût marginal on appelle rendement de substitution une économie issue d'une nouvelle technologie ou de manière plus générale d'une modification du rapport travail/capital La maximisation du profit : elle se fait dans le croisement des recettes (prix du bien venu x quantité vendue) et des coûts. Le profit maximum correspond à la plus grande différence entre les deux courbes. [...]
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