Depuis la première Révolution industrielle, le développement industriel et le développement économique semblent aller de pair avec l'accroissement des échanges commerciaux entre les pays. C'est pourquoi dès la Révolution industrielle, des théories sur l'échange international se développent. On peut remarquer principalement 2 grands axes, 2 grandes orientations opposées que le commerce international peut prendre. Ces 2 courants de pensée sur l'orientation des échanges internationaux sont le libre-échange et le protectionnisme. Le discours dominant des institutions internationales et des principaux gouvernements est favorable au libre-échange. C'est pourquoi le libre-échange est devenu en 2 siècles la théorie dominante.
[...] Ce qui démontre que le libre-échange est bel et bien une réalité : de plus le libre-échange a connu de belles expériences historiques : la période le plus forte croissance économique que le monde ait connu ait probablement celle des 30's glorieuses. Elle est aussi une période de libéralisation des échanges et de forte internationalisation des économies. Certains soutiennent qu'un cercle vertueux se soit créé à cette époque : la croissance des échanges favorisait la croissance de la production, qui elle même favorisait la croissance des échanges . [...]
[...] Donc si une première nation est meilleure dans la production d'un premier bien, tandis qu'une seconde est meilleure dans la production d'un second bien, alors chacune d'entre elles a intérêt à se spécialiser dans sa production de prédilection et à échanger les fruits de son travail . Et ainsi la liberté des échanges va accroître le bien être de l'ensemble du pays. Par conséquent c'est l'avantage absolu dans la production d'un bien qui détermine la spécialisation de chaque pays. Ensuite D. [...]
[...] En effet, Ricardo a démontré que tous les pays, même les moins compétitifs, trouvent un intérêt à rentrer dans le jeu du commerce international en se spécialisant dans la production où ils détiennent l'avantage relatif le plus important ou le désavantage relatif le moins lourd de conséquences. John Stuart MILL aussi apporte une théorie soutenant le libre- échange. En effet dans heureux les pays pauvres publié en 1848, Mill explique que le libre-échange est profitable à tous, mais il est plus profitable aux pays pauvres qu'aux pays développés. [...]
[...] Cette période de crise et de chômage s'est changé en une période de frontières, de barrières tarifaires donc de protectionnisme, qui ont eu des conséquences désastreuses puisqu'elles n'ont fait que renforcer les dégâts provoqués par la crise. En effet un cercle vicieux se serait enclenché : la crise économique a encouragé les pratiques protectionnistes qui ont contracté les échanges et ce qui a ravivé la crise . ce qui a de nouveau poussé à des pratiques protectionnistes et à une contraction des échanges . [...]
[...] Commentez : le libre-échange est une théorie sans réalité et le protectionnisme une réalité sans théorie Introduction : Depuis la première Révolution industrielle, le développement industriel et le développement économique semblent aller de pair avec l'accroissement des échanges commerciaux entre les pays. C'est pourquoi dès la Révolution industrielle, des théories sur l'échange international se développent. On peut remarquer principalement 2 grands axes grandes orientations opposées que le commerce international peut prendre. Ces 2 courants de pensée sur l'orientation des échanges internationaux sont le libre-échange et le protectionnisme. [...]
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