Québec, Justin Trudeau, politique internationale, Canada, politique étrangère, Traité sur le commerce des armes, soft power canadien, enjeux environnementaux, parité, égalité des sexes, diplomatie
Mémoire réalisé dans le cadre d'un module sur la politique internationale du Canada et du Québec.
Justin Pierre James Trudeau naît à Ottawa le 25 décembre 1971 et se présente comme « Un Canadien descendant d'un charpentier français de La Rochelle qui, au milieu du 17e siècle, avait quitté sa patrie en quête d'une vie nouvelle sur un continent autrefois dit nouveau.»
Son ascension politique commence lorsqu'il devient chef et représentant du Parti libéral, à compter d'avril 2013. Il entre dans la fonction la plus haute et distinguée de son État, à savoir le poste de Premier ministre du Canada, le 4 novembre 2015 , succédant ainsi à Stephen Harper.
Cependant, face aux conflits mondiaux que sont l'environnement, les guerres, les enjeux de développement, d'économie et sociaux, Justin Trudeau se trouve en son temps confronté à ces enjeux, mais aussi à ces parties prenantes au Canada. Il s'agira dans ce rapport d'analyser, voire comparer, la politique étrangère du Premier ministre Trudeau depuis son élection en 2015, afin de déterminer les évolutions par rapport aux politiques des gouvernements précédents concernant les Affaires étrangères.
"Justin Trudeau n'a pas voulu entamer une politique protectionniste, contrairement à son voisin, mais plus encore, de tolérance, de liberté, d'égalité, et de paix, même si le Canada n'a plus la force d'action qu'on pouvait lui attribuer il y a un certain temps. Le PM Justin Trudeau devrait se demander si la politique de défense canadienne, dépendante en tous aspects aux forces états-uniennes, n'est pas la cause de sa propre perte de chef de file du maintien de la paix, laissant ainsi moins de manoeuvre au Canada. La diversification économique est une réelle avancée pour le Canada, en ce sens où le gouvernement Trudeau devrait promouvoir à son tour cette diversification que permet l'AECG."
"Le premier contact entre le Canada et le continent africain fut d'ordre militaire, puisque le Canada envoya un contingent de soldats au régime de Prétoria, en Afrique du Sud, lors de l'épisode, qu'est la Guerre des Boers en 1800, lorsque le Canada était encore sous la coupe britannique. C'est à nouveau sur la question de l'Afrique du Sud, mais surtout de son régime d'apartheid, que cette fois le Canada va se positionner de son propre chef. Joe Clark (Premier ministre à cette époque (1979-1980)), mène l'opposition au système d'apartheid en Afrique du Sud auprès du Commonwealth, face à la résistance initiale du gouvernement britannique de Margaret Thatcher et du gouvernement des États-Unis."
[...] Il en résultera pour finaliser, de synthétiser les réussites et échecs de la diplomatie canadienne voulue par Justin Trudeau, dans les objectifs annoncés lors de son investiture. CHAPITRE I OBJECTIFS DE LA DIPLOMATIE CANADIENNE TRUDIENNE Nouvellement élu PM du Canada, Justin Trudeau se revendique avec des valeurs libérales, « pour le commerce progressiste, pour la diversité, pour l'immigration, pour la protection de l'environnement, pour l'égalité des sexes, pour la règle de droit, pour la démocratie, pour l'égalité, pour la liberté ». Sa stratégie et volonté politiques sont axées sur une nouvelle approche gouvernementale sans pour autant qu'il y ait rupture, notamment avec les provinces, et les tribus autochtones, mais également, de transparence du gouvernement et de participation démocratique des parties prenantes. [...]
[...] En outre, l'entrée de réglementations qui visent à protéger certaines normes européennes ne sont pas au goût de certaines industries, dont celle de l'industrie laitière par la voix de l'UPA, qui entre en concurrence à nouveau, laissant voir des fromages européens prendre des parts de marché, alors même que l'ACEUM leur en fait déjà perdre. Comme l'ALENA, l'AECG est un traité inclusif puisqu'il porte en divers domaines politique, comme l'environnement, ou la mutualisation de réglementations, de subventions culturelles. « Il donne l'exemple sur la protection des droits de la personne, sur l'environnement et sur la mobilité des citoyens. [...]
[...] Cette question de l'appropriation de tous les domaines politiques par des femmes marque ainsi une nouvelle ère politique, car qui mieux que les femmes peuvent s'exprimer, afin de convaincre le plus grand nombre. Rappelons également qu'en 2019, le Canada compte plus de femmes que d'hommes (Hommes 18 678 085; Femmes 18 911 177).37 C'est pour ce progrès qu'est la cause féministe, qu'il a était fait mention dans L'ALENA, accord de libre-échange commercial inclusif, la mise en ?uvre des politiques afin de protéger les travailleurs contre la discrimination en matière d'emploi fondée sur le sexe, y compris en ce qui concerne le harcèlement sexuel, la grossesse, l'orientation sexuelle, l'identité de genre.38 3.4 ENVIRONNEMENT ET CHANGEMENT CLIMATIQUE Les intérêts du Canada dans le domaine de l'environnement au niveau mondial sont d'ordres plus élevés que d'autres États, les ressources naturelles que compte le Canada lui permette de s'élever au niveau économique. [...]
[...] C'est en cela que le Canada est semblable en quelques point avec la culture historique de la colonisation des anciens empires. Cependant, le Canada à vite su montrer sa détermination à rejoindre le cercle des grandes puissances alors qu'il leur a été soumis durant quelques décennies. Le premier contact entre le Canada et le continent africain fût d'ordre militaire, puisque le Canada envoya un contingent de soldats au régime de Prétoria, en Afrique du Sud, lors de l'épisode, qu'est la Guerre des Boers en 1800, lorsque le Canada était encore sous la coupe britannique. [...]
[...] Ce lien étroit en matière de défense commune, est surtout dû à deux impacts. La première étant la puissance économique et militaire des États-Unis dans le monde, qui se retrouve à devoir être chef de file dans la préservation des valeurs démocrates dans le monde, notamment en Europe au sortir de la guerre avec le plan Marshall, pour préserver l'Europe de l'Ouest, face à la menace du communisme soviétique. Mais surtout en ce qu'il s'agit de la proximité géographique du Canada face à ces menaces. [...]
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