Le cadre de la Cité antique
La Grèce est le berceau de la Cité antique.
En effet il y a une configuration géographique particulière, des difficultés de communication, ce qui fait que la Grèce n'a pas connu la notion moderne d'Etat, mais la Cité (polis).
Ce rassemblement en cités est ce qui caractérise le grec civilisé du barbare . Pour le Grec, il est impensable que l'homme ne pouvait bien vivre que dans le cadre de la Cité : il est inimaginable que l'on puisse vivre en individu isolé : idiotës.
La vie en communauté est donc fondamentale chez les Grecs. On trouve chez Aristote, cette définition : « la Cité est une sorte de communauté, une participation commune des citoyens à un gouvernement ».
Plus que le territoire et la population, c'est la volonté des individus de se placer sous une loi commune afin de vivre en commun est ce qui caractérise la Cité.
Les Grecs n'ont pu concevoir de vie sociale en dehors de ce cadre, forcément restreint, fixé à 5040 citoyens chez Platon (...)
[...] Il multiplie les écrits politico-religieux en faveur de l'empereur contre la papauté. Cela lui vaut l'excommunication en 1330. Il est l'un des auteurs les plus influents. Il est le chef de file de l'école de l'universaliste (le débat des universaux : vif apparaît au XIIeme siècle, avant Guillaume). Ce débat (Abélard (nominaliste) v/s Champeaux (réalisme)) : la question de savoir si les noms communs recouvrent une réalité ou s'il sont simplement des mots (nomina), des pures créations de l'esprit ? [...]
[...] Il distingue les gouvernements corrects agissant au non de l'intérêt général, et ceux défectueux dans l'intérêt des seuls gouvernants. Il combine ces deux éléments pour établir une typologie pour opposer les formes pures de gouvernement et celles dégradées. Pures : La royauté ou monarchie : gouvernement d'un seul, mais au bénéfice de tous. L'aristocratie : gouvernement du petit nombre, mais en vue de l'intérêt général car c'est le gouvernement des meilleurs. La république, ou politie : gouvernement du grand nombre dans l'intérêt général. [...]
[...] Section II : Des penseurs politiques au temps des Cités Antiques Le fait que plus que les Romains, les philosophes Grecs vont être les créateurs de la science politique. Pratiquement tous les penseurs grecs, dans leur quête du meilleur régime, se sont intéressés aux problèmes politiques. Hérodote, ou la définition des formes politiques On lui décerne le titre de père de l'histoire, mais c'est aussi le père de la politique. Il analyse le premier les différentes formes de gouvernement. Il est considéré comme le premier historien grec[12] et laisse un ouvrage majeur[13]. [...]
[...] Cette méthode devra être appliquée dans toutes les matières, y compris la politique : l'esprit critique. Spinoza C'est dans le contexte agité de la Hollande qu'il écrit. Spinoza qui mène la vie d'un artisan (polisseur de verre) mène une réflexion politique. La famille princière des Orange-Nassau qui occupent la charge de Stathoudérat (fonction militaire importante) et les régent (bourgeois chargés de l'administration des villes et des finances sous la présidence du grand pensionnaire) s'opposent. Les régents : tolérance religieuse les Orange-Nassau : calvinisme. En 1654, la famille Nassau tente d'instaurer un système monarchique. [...]
[...] Lothaire accuse Teutberge d'avoir eu des relations incestueuses avec son frère, avant son mariage. Il y a une cérémonie d'Ordalie de l'eau bouillante (pas directement, mais par l'intermédiaire d'un champion). Le champion de Teutberge sort indemne de l'affaire, mais la reine serait allée se confesser auprès d'un archevêque, et brise le secret de la confession. Teutberge est reconnue coupable par Lothaire. Elle prend la fuite est va chez son oncle, Charles le chauve, et en appelle au pape. Lothaire II épouse Walrade en 862. [...]
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