Totalitarismes en Europe, Allemagne nazie, Italie, URSS, idéologie communiste, remise en cause de la démocratie libérale, Europe
La création du mot totalitaire à 1923, dans un article paru dans Il Mondo le 12 mai 1923 Giovani Amendola parle de « Sistema totalirario ».
D'autres opposants emploient ce mot, pour désigner la violence avec laquelle les fascistes s'emparent de tous les postes. Mussolini va reprendre ce mot dans un discours célèbre de sa « volonté totalitaire inflexible ». Publication du livre d'Hannah Arendt, les origines du totalitarisme. Elle décrit dans ce livre les caractéristiques du régime nazi en insistant sur son antisémitisme et racisme. Le substantif est lancé. Trois auteurs tentent de le définir, Karl Friedriech, et Brzezinski, il distingue un certain nombre de critères sur ce qu'est une autocratie. Six critères : Idéologie officielle, système de parti unique, système de contrôle policier, concentration des moyens de propagande, concentration des moyens militaires et enfin une économie dirigée centralisée.
[...] les fascistes vont devenir en aide à Franco, les nazis envoient la légion Kondor, les premiers régimes combattent côte à côte contre les républicains. Ce rapprochement est scellé lors d'un pacte, en novembre 1936, l'axe Rome-Berlin. Il va donner naissance entre un pacte tripartite, puisque le Japon adhère à ce pacte. L'URSS ; internationalisme mais révolution dans un seul pays Guerre civile et défense de la révolution de 1917-1922. Faut-il faire sur le modèle des révolutionnaires français de 1789. Faut-il faire une exportation, ou bien faut-il miser tout sur la consolidation de la révolution. [...]
[...] Il y a quatre successeur potentiel à Lénine. Il y a Trotski, c'est l'idéologue, c'est quelqu'un qui a un esprit pratique. Il a remporté la guerre civile contre les blancs. Face à Trotski il y a une troika. Il y a Kamenev, président du soviet suprême de Moscou, chef de la région de moscou, c'est celui de vice-président du gouvernement. Zinoviev, c'est le président du soviet suprême de Saint-Petersbourg, il est le dirigeant de la 3ème internationale, le kommintern. Staline a la fonction la moins prestigieuse, il est simplement secrétaire général du parti communiste, il tient le parti. [...]
[...] Le fait d'abord et la pensée après. Cela ne veut pas dire qu'il y a pas d'idéologie. Fort nationalisme, et fort nostalgie de la grandeur passée de l'Italie. On explique son déclin par l'installation de la démocratie. Elle impose un pluralisme des opinions, politiques sont sources de division et donc d'affaiblissement. Les droits de l'homme et les libertés sont nocives. L'individu n'a que des devoirs envers l'Etat. Mussolini dénonce la lutte des classes de Marx. Il cherhce un Etat tout puissant, totalitaire, qui contrôle toute la totalité des individus. [...]
[...] Ils font une violence d'Etat et non de l'Etat. Elle va frappper tous les opposants au régime. Qui vise à terroriser. Des régimes policiers avec différents moyen. En Italie il y la police politique l'OVRA, et la milice fasciste, chasser les opposants. La terreur fasciste est sans commune mesure. En Allemagne les premiers victimes des camps ce sont les allemands. Plusieurs polices, la gestapo, les SS et les SA. Ce sont les SS qui vont monopoliser cette violence et cette répression. [...]
[...] Il fait adopter un programme en 20 points. Parmi ces 20 points, thème traditionnel de l'extrême droite avec un très fort accent antisémite. Groupe d'action, les chemises brunes, les sections d'assaut. Elle utilise la violence contre leur adversaire. Le parti se dote d'un journal, L'Observatoire du Peuple. Il rêve de s'emparer du pouvoir par la force comme Benito. En novembre 1923, Hitler tente d'imiter Mussolini et tente d'organiser un putsch à Munich. Il échoue, il est condamné à 5 ans de prison. [...]
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