Système partisan italien, Giovanni Sartori, politique italienne, République parlementaire, partitocratie
Question de la situation actuelle. Une évolution par rapport à une situation passée. Implicitement : des changements importants et réguliers.
Le système partisan italien : la galaxie des partis qui caractérisent le système politique italien – l'ensemble des forces, hétéroclites, qui composent le champ politique italien.
La Constitution du 27 décembre 1947 met en place une République de type parlementaire, fruit d'un compromis entre les libéraux et les progressistes. On a pu parler d'une « partitocratie », car les partis politiques possèdent un rôle primordial à chaque échelle du pouvoir.
« Le gouvernement est faible, mais le sous-gouvernement est fort. » (Norberto Bobbio, dans Pouvoirs) : il existe un nombre important de structures publiques dirigées par des hommes de partis, influant grandement de cette façon la politique économique, en dehors de l'exécutif ou des parlementaires.
[...] Marc le Dorh. Edition Ellipses -Partiti politici in Italia. [...]
[...] (Norberto Bobbio, dans Pouvoirs) : il existe un nombre important de structures publiques dirigées par des hommes de partis, influant grandement de cette façon la politique économique, en dehors de l'exécutif ou des parlementaires. Cette pregnance du pouvoir exacerbé des partis politiques sera remise en cause Problématiques : Quels sont les grandes forces politiques historiques qui ont marqué de leur sceau le système partisan italien ? Quels sont les caractéristiques qui peuvent définir ce système en perpétuel mouvement ? Quelle a été l'influence des modifications de modes de scrutin dans les rapports de forces électoraux ? [...]
[...] Fini : futur et liberté pour l'Italie un système partisan qui peine à s'affirmer prolongement du gouvernement technique Monti ? Désaveu pour le politique : Piove, governo ladro ! sources: -Droit constitutionnel et institutions politiques. Olivier Duhamel Edition Seuil * Les partis politiques occidentaux. [...]
[...] reflètent le désaveu chronique des italiens pour le système partisan, ou bien la totale incapacité des partis à gouverner de façon raisonnée et éthique ? plus de confiance pour les partis traditionnels effondrement du poids du PdL sans Berlusconi conséquence d'une stratégie basée uniquement sur la personnalité de son leader difficulté à faire émerger une personnalité chez les sociaux-démocrates personnalités qui ne doivent pas cliver et rassembler largement, au risque de ne pas être lisibles politiquement Renzi / Bersani La tentation du hors-système Anomalie politique en Italie : les partis extrêmes ont toujours attiré un nombre important d'électeurs Poids de la ligue du Nord : renouveau dans les années 1980 à peu près de l'électorat Alleanza nazionale : 15% de l'électorat héritier des fascites, aujourd'hui en plein cœur de la coalition de droite communisme plus important politiquement que le socialisme nouveau parti contestataire, antipolitique : cinque stelle résultats très positifs aux municipales partielles de mai 2012 élection d'un maire en Vénétie Conclusion: système toujours marqué par l'héritage de la démocratie chrétienne, qui n'est aujourd'hui pas en mesure de se reformer Nouveauté : le communisme semble totalement à bout de souffle, avec une partie de ses héritiers qui se sont intégrés au parti démocrate, et la parti orthodoxe des communistes, intégrés à la coalition arc en ciel »avec toutes les forces de la gauche radicale, n'obtient pas plus de des votes aujourd'hui : un bipolarisme qui paraît menacé, avec un ensemble de droite instable et une gauche qui ne soulève pas l'enthousiasme effondrement du parti de Berlusconi, nouvel éclatement politique ? [...]
[...] Implicitement : des changements importants et réguliers. Le système partisan italien : la galaxie des partis qui caractérisent le système politique italien l'ensemble des forces, hétéroclites, qui composent le champ politique italien Introduction La constitution du 27 décembre 1947 met en place une République de type parlementaire, fruit d'un compromis entre les libéraux et les progressistes. On a pu parler d'une partitocratie car les partis politiques possèdent un rôle primordial à chaque échelle du pouvoir. Le gouvernement est faible, mais le sous-gouvernement est fort. [...]
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