régime politique, démocraties, clivage droite/gauche, mode de légitimation du pouvoir, régimes des partis
Notion d'état faible, d'état fort, ça ne change pas forcément le rapport avec la société, c'est plus le régime politique qui change cela, comment le pouvoir est attribué. Il faut que le régime en place soit légitime, mode de légitimation ? Comment ce pouvoir est exercé ? juridico-institutionnel, cette notion de régime politique rend compte de la façon particulière dont sont organisés les pouvoirs publics.
Le système politique : des acteurs : régimes des partis (multipartisme, bipartisme…), libertés publiques…
Les modèles antiques : la classification était quelque chose d'important pour mettre un ordre à ce que l'on observe, car la comparaison est intrinsèque à l'analyse, et pour savoir quel est le meilleur régime.
[...] Pour BRAUD : la citoyenneté : capacité d'exercer les droits liés à la participation politique de type démocratique. C'est un système de droit et de devoir. On a un système de valeurs sur la représentation du citoyen. Abstention et non-inscription : Non inscrits : 4millions des personnes en âge de voter) Apathie civique (individus mal intégrés, sans intérêts pour la politique, des jeunes, ouvriers, artisans. La structures de l'habitat influe aussi dessus) ces non-inscrits n'apparaissent pas dans les statistiques nationaux. [...]
[...] Mais le positionnement sur l'axe par les électeurs est variable. Ce clivage est flou. C'est un système de connotation émotionnelle, qui fait se mobiliser les individus. C'est le fait que se soit issus de combats politiques, historiques, et chacun a un sentiment émotionnel d'appartenir à droite ou a gauche. Fonction réelle : endosser une identité politique, l'électeur un système de valeurs, de justifications privilégiés, qui nous servent de repères identitaires. Mais aussi identifier les alliances susceptibles d'être perçues comme légitimes. [...]
[...] Modèle psycho-politique (le vote est avant tout un acte politique commandé par la perception des électeurs des principaux objets politiques, identification partisane : attachement affectif pour un parti). Modèle du choix rationnel (remise en cause des deux précédant modèles, vote sur enjeu, pesant le pour et le contre) Les partis politiques : l'institutionnalisation du régime représentatif, élargissement du droit au suffrage. Leur rôle : organisation du débat politique, formation de l'opinion publique, sélection du personnel politique, fonction d'intégration sociale. Clivage droite gauche : Fonction apparente : identifier quelles sont les grandes familles politiques et leurs idées. [...]
[...] Espace de liberté pour les gouvernants : ce qui est bon pour le peuple n'est pas forcement ce que le peuple veut. Cette distance du mandat non- impératif permet au public de s'exprimer en dehors des gouvernants. Le principe libéral : démocratie pluralistes ce principe s'accompagne de l'état de droit. La liberté est nécessaire, et cela ce fait par la sécularisation du pouvoir. On va séparer la sphère publique de la sphère privée, dans laquelle on va mettre la religion. [...]
[...] Raymond ARON propose la distinction entre régime de partis multiples, régime de parti unique, dans la deuxième partie on va donc avoir les systèmes totalitaires et les régimes autoritaires, dans les régimes de partis multiples, il y a des partis qui sont en compétitions pour le pouvoir, il y a donc un consensus sur l'organisation de cette compétition. L'autorité sera alors légale et modérée par la compétition. Dans les régimes autoritaires l'état n'a pas envie de se fondre dans la société, contrairement aux systèmes totalitaires. Les oligarchies clientélistes, bonapartisme populistes Démocraties : principe de participation populaire, la représentation : le peuple souverain va déléguer son pouvoir de décision à une personne. [...]
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