Un certain nombre d'interventions de l'État ont eu lieu dans le domaine artistique et culturel à partir de Louis XIII et Louis XIV, avec un mouvement académique qui fixe les normes. On a également un mécénat royal qui va se développer, le roi ,lui, se comporte comme un mécène. Louis XIII et Louis XIV vont subventionner certains artistes. Avec ces rois, la censure qui a longtemps été dans les mains de l'église va devenir le fait de l'État; on a une laïcisation de la censure. Cependant, on ne peut pas vraiment parler de politique culturelle à cette époque.
[...] Louis XIII et Louis XIV vont subventionner certains artistes. Avec ces rois, la censure qui a longtemps été dans les mains de l'église, cette censure va devenir le fait de l'État, on a une laïcisation de la censure. Cependant, on ne peut pas vraiment parler de politique culturelle à cette époque. Il y a deux grands héritages de la monarchie qui vont se transmettre ensuite à la République : La logique mécénale. La centralisation culturelle. Lorsqu'arrive la Révolution, va marquer l'invention du patrimoine national. [...]
[...] Il est proche de Charles de Gaulle. Malraux va utiliser son talent pour honorer les grandes figures nationales, les cendres de Jean Moulin vont être transférées au Panthéon. Ce ministère de la Culture doit : rendre accessibles les œuvres capitales de l'humanité et d'abord de la France au plus grand nombre de Français. Assurer la plus vaste audience à notre patrimoine culturel. Favoriser la création des œuvres d'art et de l'esprit qui l'enrichisse. Avec cela, on a une revendication démocratique. [...]
[...] Le Grand Louvre. La Bibliothèque Nationale de France Une politique contestée Finkielkraut dans son livre La défaite de la pensée en 1987, il explique que la politique du moment qui prend en compte des domaines jusqu'à lors ignorés par le ministère de la Culture, cette politique a contribuée à la dissolution de la culture dans ce qu'il appel le tout culturel. Fumaroli dit qu'au fond, la politique culturelle conduite depuis 1981 a fait de l'État un pourvoyeur de loisirs de masse et de produits de grande consommation. [...]
[...] Le patrimoine national historique augmente de 20%. Dans le domaine de la création, il y a une politique d'aide très forte, on crée les centres dramatiques nationaux, les financements du spectacle augmentent. On a depuis établissements culturels qui vont être regroupés sous le Label Scène nationale le but est de soutenir les arts de la scène pour la diffusion et la création L'émergence des collectivités locales On a un volontarisme de l'État qui va rencontrer celui des collectivités locales. Avec la décentralisation, l'État va transférer les bibliothèques centrales de prêt et les archives départementales aux collectivités locales. [...]
[...] Au début de la 3e République, l'État se retire, ce n'est plus lui qui dit qui doit être et ne pas être exposé. Les artistes prennent petit à petit en main leur destinée. L'État va tout de même se comporter comme un client, il va acheter des œuvres dans différents salons et expositions. Petit à petit, le mouvement est que c'est le marché de l'art qui va prendre de plus en plus d'importance et de moins en moi ns l'État. En 1906, la censure sur les théâtres est supprimée. [...]
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