Place de l'Etat, monde contemporain, autorité politique, autorité de l'Etat, politique économique, place de la religion dans l'Etat
Le pouvoir peut prendre deux formes :
- La forme de la puissance (qui est un rapport de force)
Le sociologue Max Weber définit ainsi la puissance : « toute chance de faire triompher au sein d'une relation sociale sa propre volonté, même contre des résistances ». C'est l'exercice d'une contrainte.
- La forme de l'autorité. Le pouvoir qui rencontre une docilité. Selon Weber c'est « la chance de trouver des personnes déterminées prêtes à obéir à un ordre ».
Enjeu : sur quoi se fonde l'autorité ?
L'obéissance est une énigme.
L'anomie : conduirait à l'absence de règles.
[...] Cela prend la forme d'une bureaucratie. F. Kafka : le château : c'est l'image de la séparation radicale entre le village et le château. Le village représente la société civile. Le château représente l'état : l'autorité administrative souveraine. Cette œuvre décrit l'aliénation de l'individu face à la bureaucratie. Le château est caractérisé par son éloignement, son opacité, sa rigidité . Une conception liberticide de l'ordre social Critique adressée par Karl Popper : la société ouverte et ses ennemis Société holiste : le tout à plus d'importance que la partie CAD l'individu. [...]
[...] Au critère de la vérité il va substituer celui de la bonne foi/sincérité. L'erreur n'est donc pas un péché (religieux), l'erreur n'est pas une faute morale non plus. Il sépare nettement morale et religion. Les actions des hommes en ce monde sont indépendantes de leur opinion sur l'autre monde (de leur croyance religieuse). Un athée peut tout à fait être quelqu'une de vertueux. Le processus de sécularisation de l'autorité politique Un auteur à connaitre : Machiavel le prince Traditionnellement le pouvoir était légitimé par une entreprise de sacralisation. [...]
[...] Le pouvoir est une réalité profane, le souverain est un homme comme les autres qui doit assurer la pérennité de son pouvoir. La stratégie de l'homme polt sera celle du bouc-émissaire. Il est aussi le théoricien inventeur de la raison d'état. Mode d'intervention polt qui suspend le droit commun au nom d'une nécessité/rationalité supérieure qui échappe à la rationalité ordinaire. La polt est indépendante de la religion et indépendante de la morale. ( Le processus de sécularisation Mouvement général de la sté de recul du religieux. [...]
[...] C'est d'abord une exigence morale se traduisant dans les sphères juridiques et économiques. Par exemple, le racisme ou l'homophobie ne sont pas en soi des discriminations car la discrimination implique une différence de traitement. Il faut être face à une différence de traitement. ( Dans la discrimination il faut au moins deux éléments fondamentaux. D'abord, c'est l'existence d'un préjudice. La victime se voit refuser un bien ou un service auquel il aspirait. Ensuite, l'existence d'un critère qui permet d'identifier le déséquilibre. [...]
[...] La réaction pénale devra être proportionnée. C'est ce qui distingue la logique pénale de la logique de la vengeance La justice légale et l'équité Aristote : ce qui est équitable tout en étant juste ne l'ai pas conformément à la loi, l'équité c'est une sorte de substitut, trop rigide, trop impersonnel. La justice légale est nécessaire mais non suffisante. La loi est générale, elle est faite de grands principes, de règles. Ces règles ont pour caractéristiques d'être générales, abstraites et impersonnelles. [...]
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