Intérêts des politiciens, ghetto, pauvreté, José Mujica, ONG
"Les uns m'appellent pauvre, mais je ne me sens pas pauvre. Les pauvres sont les personnes qu'ils tiennent avec les dents d'un style de vie luxueux et qu'ils veulent tout le temps plus de choses " disait le leader uruguayen José Mujica.
Mais dans une autre conception, la pauvreté est associée avec les zones territoriales qui entourent la zone centrale de la ville ou du village et qui sont nommées périphéries. N'est pas difficile à comprendre pourquoi, dans la plupart des cas, les espaces publics dans les zones à proximité des villes sont moins attrayants, mais la zone périphérique est généralement différente et possède des éléments de centralité aussi que les autres zones d'une ville.
[...] Pourquoi ne sont-ils pas les politiciens proposés comme les hommes d`Etat, les hommes qui militent pour améliorer la situation des pauvres dans ces zones urbaines ? C'est pourquoi que leurs actes sont cyniques, parce qu'elles ne sont pas fabriquées par conviction, mais d'un besoin politique et pragmatique : l`obtiennent des votes. Comme une conclusion, quand on dit le mot on pense à un quartier isolé et on prend une attitude réticente, mais il faut qu'on arrive à un moment donné au principe de l'égalité. En fait, la périphérie se retrouve au milieu, jamais d'une côté ou de l'autre. [...]
[...] Est-ce que ces enfants vont aspirés dans un jour à un métier comme médecin ou architecte ou politicien ? Ils ont tous les chances d'être au sommet de la société mais ils doivent avoir la volonté pour changer leurs destins, pour donner une leçon aux ignorants passionnés seulement du pouvoir. Si l'État accordait plus d`attention à ces zones, des programmes d'éducation, la possibilité aux gens d'apprendre un métier et de le pratiquer sans être discriminés, les crimes, les vols, l'image noire et évitée à ceux qui vivent là n'existerait plus dans nos âmes. [...]
[...] Même dans ces circonstances les partis et les hommes politiques tournent leur attention envers les nécessiteux. Mais seulement quand il y a un but politique : le processus d`élection. En ce sens les périphéries sont vues comme une source des votes facile à conquérir. Ça c`est une réalité cruelle qui se développe au-delà de la campagne électorale. Les hommes sont manipulés par n'importe quelle méthode. La nourriture, les différentes objets, les promesses, les vêtements et parfois l'argent sont des exemples réels qui aident les politiciens d'être élus. [...]
[...] Ce sont des initiatives très utiles pour les minorités ethniques, les “cibles des politiciens quand on parle sur le sujet des élections. Ce qui est intéressant est que les étrangers avec esprit civique sont ceux qui viennent volontairement dans notre pays, ceux qui luttent pour les locataires du ghetto, ceux qui commencent et déroulent des projets sur des différents thèmes comme l'éducation sociale et financière, la compréhension personnelle, les droits et les responsabilités. Bien sûr, il y a aussi des gens apolitiques roumains qui ont la même croyance, mais leur nombre est insignifiant et le pouvoir va rester toujours dans les mains de la classe politique qui devra réaliser une société égalitaire, qui devra convaincre l'électorat avec des faits réels pour obtenir leur accord, leur voix. [...]
[...] La périphérie, les intérêts des politiciens et les ONG "Les uns m`appellent pauvre, mais je ne me sens pas pauvre. Les pauvres sont les personnes qu'ils tiennent avec les dents d'un style de vie luxueux et qu`ils veulent tout le temps plus de choses " disait le leader uruguayen José Mujica. Mais dans une autre conception, la pauvreté est associée avec les zones territoriales qui entourent la zone centrale de la ville ou du village et qu`elles sont nommées périphéries. [...]
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