Libertés fondamentales et citoyenneté
[...] Les libéraux eux même on critiqué la citoyenneté moderne à la française. Benjamin Constant : homme politique, philosophe, écrivain, 19ème siècle. Il critique la façon dont le citoyen est conçu en France. Rousseau pense que le loi (donc l'Etat) garantie la liberté. Donc la souveraineté du peuple qui légitimise la loi devient absolue. Si le peuple le veux, on doit s'y soumettre la volonté générale d'impose à la volonté particulière absolutisme populaire. Donc la sphère privée recule face à la sphère publique. [...]
[...] Est ce qu'on est citoyen ou le devient on ? On peut subir le vivre ensemble quand on est mineur, mais quand on est majeur on a le choix. Sans s'en rendre compte on fait de choix de vivre ensemble donc on travail ensemble, donc contrat de travail qu'on fait ensemble. En tant que citoyen on peut souscrire aux contrats de travail et celui-ci s'impose à nous. Il est légitime. La pauvreté : pourquoi s'occuper de personnes plutôt que d'autres, pourquoi souscrire à une politique plutôt qu'a une autre, pourquoi donner de l'argent aux gens qui sont dans l'incapacité de travailler ou aider tous les travailleurs potentiels qui n'ont pas de travail. [...]
[...] C'est par rapport a cette pensée radicale que se positionne la contre révolution. Edmond Burke : dans réflexion sur la révolution de la France il part en guerre contre les formes de la révolution française. Burke est libérale (en Angleterre = gauche). Il s'oppose à la citoyenneté moderne de la France parce que pour lui l'individu, citoyen français, est un citoyen abstrait qui élimine tout sur son passage. Pour Burke un individu est enraciné c'est- à-dire qu'il est un individu fait de passion (amour, haine, etc . [...]
[...] C'est aux politiques de gérer les affaire politiques : idée fondamentale de la citoyenneté. La place de la loi : la loi doit être raisonnable. On quitte le rapport personnel des pouvoirs pour arriver à un rapport impersonnel du pouvoir qui permet l'émergence du citoyen. émergence de l'idée de l'universalité : on est tous égaux devant la loi. Le rôle des institutions pour former un citoyen : il faut des institution éducative. En grève l'école à un statut fondamentale L'apport romain. [...]
[...] L'essentielle du pouvoir est DANS les individus on se sépare totalement du divin. Donc la citoyen moderne est autonome, abstrait, mais ça reste un être humain. Citoyen parce que il est raisonnable, il est l'égale des autres, il à naturellement la droit de participer à la république théorie du droit naturel. Citoyenneté moderne : le peuple à la droit à la parole. Mais cet homme là à tout de même une vie privée. Dans la citoyenneté moderne, il y a deux façons de concevoir cette place de la vie privée : soit on pense que la nature de l'homme est assez raisonnable pour lui garantir des droits. [...]
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