Interventions, endiguer la crise, subprimes, faillite des prêts, taux d'intérêt
Elles débutent en août 2007 et sont classées en 3 catégories:
- Venir en aide aux ménages pour limiter l'augmentation des défauts de paiements.
- Assouplir la politique monétaire (injecter des liquidités, jouer sur les taux d'intérêts).
- Intervenir en tant que prêteur de dernier ressort ou acheteur de dernier ressort.
[...] (La BCE n'a pas augmenté le volume de ses opérations mais a changé la structure: elle favorise les opérations à long terme aux dépends des opérations principales de refinancement.) L'action sur les taux d'intérêt En plus de l'injection de liquidités sur le marché pour réduire l'effet de la crise sur la croissance, la Fed a baissé son taux d'escompte (de 6,25% à et son taux objectif à 2,25%). La BCE n'a elle pas baissé ses taux directeurs (menaces inflationnistes sur la zone euro empêchent toute baisse des taux selon son directeur), même si elle a toutefois renoncé à les augmenter. Politiques de taux d'intérêt totalement différentes entre la Fed et la BCE MAIS la situation économique est différente en Europe et en Amérique vrai question: ces différences s'expliquent-elles par une différence de structure ou de conjoncture? [...]
[...] La politique monétaire. Grande réactivité des des banques centrales depuis août 2007 éviter une crise bancaire systémique et limiter les effets sur la croissance Injection de liquidités Traditionnellement, les banques se financent en empruntant à court terme sur le marché interbancaire MAIS il y a une grande défiance des banques les unes vis à vis des autres depuis la crise financière (incertitude de l'exposition aux subprimes) hausse des taux à trois mois (normalement, ne dépassent pas plus de 20 pts le taux directeur de la banque centrale / dps août à 6 fois plus élevé!!) Les banques centrales sont intervenues massivement pour accorder des liquidités réduire les tensions sur le marché monétaire, restaurer la confiance. [...]
[...] Pb d'ordre pratique: Comment évaluer et classer les prêts? Apparemment à l'aide du ratio dette/revenu MAIS il faut aussi déterminer s'ils sont mis en défaut (possibilité de faillite) par un réalignement. La politique de relance budgétaire Annonce début 2008 d'une relance budgétaire de 168 Mds de $ du PIB) par l'État américain aggravation du déficit américain (dépassement de la barre des 500 Mds de Pas de plan prévu en Europe pr l'instant MAIS le FMI plaide pr une action de relance concertée. [...]
[...] Prêteur ou acheteur en dernier ressort? Les difficultés des banques commerciales disparaissent si les prix des actifs reviennent à la normale. tentées d'utiliser des actifs sous évalués pr se refinancer MAIS la BC n'accepte que des actifs de bonne qualité ou pratique une remise sur sur la valeur de l'actif qui dépend de sa qualité et de sa valorisation. [...]
[...] Banques américaines: prêts à long terme = 25% du PIB PDR = banques centrales prêtent des liquidités aux banques en prenant comme garantie les actifs détenus par ces banques MAIS pb quand la liquidités disparaît car il en résulte une valorisation anormalement basse d'un certain nombre d'actifs financiers. août 2007: le pb de liquidités des banques est venu de la chute de la valeur de marché des actifs qu'elles détiennent (et non de pertes économiques ou d'une contraction de la liquidité globale) et de la disparition de la liquidités sur les marchés des actifs: on ne plus les Y vendre pour obtenir des ressources liquides. [...]
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